violations Archives - DiasporAction https://www.diasporaction.fr/tag/violations/ DiasporAction vise la promotion des actions de la diaspora Africaine! Fri, 20 Apr 2018 10:58:56 +0000 fr-FR hourly 1 https://www.diasporaction.fr/wp-content/uploads/2020/03/ic_launcher-75x75.png violations Archives - DiasporAction https://www.diasporaction.fr/tag/violations/ 32 32 NORD DU MALI : Violations des droits de l’Homme ou l’autre face sombre du conflit ? https://www.diasporaction.fr/nord-du-mali-violations-des-droits-de-lhomme-ou-lautre-face-sombre-du-conflit/?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=nord-du-mali-violations-des-droits-de-lhomme-ou-lautre-face-sombre-du-conflit Fri, 20 Apr 2018 10:58:56 +0000 https://www.diasporaction.fr/?p=40275 jQuery(document).on('click', '.assbshareonfbbtn', function($) { var currentLocation = window.location; window.open("https://www.facebook.com/sharer/sharer.php?u=" + currentLocation, "pop", "width=600, height=400, scrollbars=no"); }); function googleplus() { var go = "https://plus.google.com/share?"; var url = "url=" + encodeURIComponent('https://www.diasporaction.fr/nord-du-mali-violations-des-droits-de-lhomme-ou-lautre-face-sombre-du-conflit/'); javascript:void window.open(go + "&" + url, '1446801293880', 'width=500,height=500,toolbar=0,menubar=0,location=0,status=1,scrollbars=1,resizable=1,left=0,top=0'); return false; } function linkdin() { var go = "https://www.linkedin.com/shareArticle?mini=true"; var url = "url=" + encodeURIComponent('https://www.diasporaction.fr/nord-du-mali-violations-des-droits-de-lhomme-ou-lautre-face-sombre-du-conflit/'); var title = 'title=NORD DU MALI : Violations des droits de l’Homme ou l’autre face sombre du conflit ?'; javascript:void window.open(go + "&" + url + '&' + title + '&source=', '1446801293880', 'width=500,height=500,toolbar=0,menubar=0,location=0,status=1,scrollbars=1,resizable=1,left=0,top=0'); return false; } window.twttr = (function(d, s, id) { var t, js, fjs = d.getElementsByTagName(s)[0]; if (d.getElementById(id)) return; js = d.createElement(s); js.id = id; js.src = "https://platform.twitter.com/widgets.js"; fjs.parentNode.insertBefore(js, fjs); return window.twttr || (t = {_e: [], ready: function(f) { t._e.push(f) }}); }(document, "script", "twitter-wjs")); // function shareonfacebook(title, desc, url, image) {

Des accusions tous azimuts de violations des droits de l’Homme, le conflit dans le Nord du Mali n’a pas encore fini de révéler tous ses secrets. Peut-être, c’est le temps de situer les responsabilités ? Dans le Nord du Mali tout au long de la crise, des ONG dénoncent des crimes commis par les Forces […]

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Des accusions tous azimuts de violations des droits de l’Homme, le conflit dans le Nord du Mali n’a pas encore fini de révéler tous ses secrets. Peut-être, c’est le temps de situer les responsabilités ?

Dans le Nord du Mali tout au long de la crise, des ONG dénoncent des crimes commis par les Forces armées maliennes (FAMa). Du coup, certains vont jusqu’à mettre en doute la capacité des forces régulières à assurer toute perspective d’unité du territoire. Depuis quelques jours, la donne a considérablement changé et ce sont surtout des nouveaux alliés de la force française qui sont indexés de violations des droits de l’Homme.

Selon les membres de la communauté peule, très présente dans la région, Moussa et Gamou se servent de leur proximité avec Barkhane pour régler de vieux comptes. Des contentieux opposent depuis des décennies les Peuls et les Daoussak, qui vivent de l’élevage, autour de la question du partage des pâturages et des points d’eau.

« Au nom de la lutte antiterroriste, le MSA et le Gatia traquent les Peuls, même les civils, les violentent, les pillent, les attachent, les tuent. Ils tirent sur des réservoirs d’eau. Tous les matins, je reçois des alertes, affirme le président du Ganda Izo Mohamed Attaïb Sidibé. On pousse les Peuls à rejoindre les terroristes ! »

Un observateur français abonde : « Quand il y a des bavures, la réaction des Peuls, c’est de se dire ‘si nos ennemis locaux sont alliés avec la France, on va aller chercher nous-mêmes un sponsor à la hauteur’ ». Certains vont grossir les rangs de l’Etat islamique, par réflexe communautaire davantage que par conviction. D’autres fuient la zone : des déplacements massifs de populations peules ont été rapportés par les ONG.

« Les allégations de violations du droit international humanitaire dans la région de Ménaka sont d’une particulière gravité, a souligné vendredi le directeur de la division des droits de l’Homme de la Mission des Nations unies au Mali, Guillaume Ngefa. Elles font état d’exécutions sommaires d’au moins 95 personnes qui seraient accusées de terrorisme ou de banditisme. Nous surveillons de près la situation des opérations antiterroristes par la coalition MSA-Gatia ».

Depuis le mois de février, les offensives du MSA, du Gatia et de Barkhane se sont accélérées, de part et d’autre de la frontière Mali-Niger.

La place de la CPI

Le sort réservé aux jihadistes, passés et présents, reste mystérieux. Ainsi, ce Malien, quasiment ressuscité d’entre les morts : le 4 avril dernier à La Haye, la Cour pénale internationale (CPI) présentait au public un quadragénaire au visage impassible, accusé d’avoir participé aux tribunaux islamiques qui semaient la terreur fin 2012 dans le Nord du Mali.

Connu sous le diminutif d’ »Al-Hassan », ce suspect avait fait l’objet d’une enquête de la Fédération internationale des droits de l’Homme (FIDH). « Mais dans notre plainte, Al-Hassan était mentionné comme présumé décédé, car nous avions perdu sa trace », confesse Florent Geel, de la FIDH.

Al-Hassan avait fui Tombouctou après la reconquête de la ville par les forces françaises, sans quitter la région, où il sera arrêté par les soldats de l’opération Barkhane en avril 2017.
En janvier 2017, les forces françaises de Barkhane avaient elles-mêmes été accusées d’avoir tué un jeune gardien de troupeau dans le Nord. Paris avait promis de publier rapidement les résultats de l’enquête, mais il faudra attendre fin novembre pour connaître ses conclusions : le garçon aurait été un guetteur des jihadistes et il n’y aurait eu « aucune faute individuelle ou collective dans l’usage de la force ». Mais qui pourrait de toute façon contredire cette enquête interne alors que le Nord reste inaccessible ?

A. M. C. avec liberation.fr

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ACCUSATION DE VIOLATIONS DES DROITS DE L’HOMME Le ministre de la Défense a promis des enquêtes https://www.diasporaction.fr/accusation-de-violations-des-droits-de-lhomme-le-ministre-de-la-defense-a-promis-des-enquetes/?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=accusation-de-violations-des-droits-de-lhomme-le-ministre-de-la-defense-a-promis-des-enquetes Tue, 07 Nov 2017 09:11:53 +0000 https://www.diasporaction.fr/?p=37410 jQuery(document).on('click', '.assbshareonfbbtn', function($) { var currentLocation = window.location; window.open("https://www.facebook.com/sharer/sharer.php?u=" + currentLocation, "pop", "width=600, height=400, scrollbars=no"); }); function googleplus() { var go = "https://plus.google.com/share?"; var url = "url=" + encodeURIComponent('https://www.diasporaction.fr/accusation-de-violations-des-droits-de-lhomme-le-ministre-de-la-defense-a-promis-des-enquetes/'); javascript:void window.open(go + "&" + url, '1446801293880', 'width=500,height=500,toolbar=0,menubar=0,location=0,status=1,scrollbars=1,resizable=1,left=0,top=0'); return false; } function linkdin() { var go = "https://www.linkedin.com/shareArticle?mini=true"; var url = "url=" + encodeURIComponent('https://www.diasporaction.fr/accusation-de-violations-des-droits-de-lhomme-le-ministre-de-la-defense-a-promis-des-enquetes/'); var title = 'title=ACCUSATION DE VIOLATIONS DES DROITS DE L’HOMME Le ministre de la Défense a promis des enquêtes'; javascript:void window.open(go + "&" + url + '&' + title + '&source=', '1446801293880', 'width=500,height=500,toolbar=0,menubar=0,location=0,status=1,scrollbars=1,resizable=1,left=0,top=0'); return false; } window.twttr = (function(d, s, id) { var t, js, fjs = d.getElementsByTagName(s)[0]; if (d.getElementById(id)) return; js = d.createElement(s); js.id = id; js.src = "https://platform.twitter.com/widgets.js"; fjs.parentNode.insertBefore(js, fjs); return window.twttr || (t = {_e: [], ready: function(f) { t._e.push(f) }}); }(document, "script", "twitter-wjs")); // function shareonfacebook(title, desc, url, image) {

Dans un communiqué publié la semaine dernière, Human Rights Watch annonce que  » l’engagement déclaré du ministère malien de la Défense envers l’ouverture d’une enquête sur les abus graves qu’aurait commis les forces de sécurité lors d’opérations dans le centre du Mali est une étape importante en vue d’une plus grande obligation de rendre des […]

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Dans un communiqué publié la semaine dernière, Human Rights Watch annonce que  » l’engagement déclaré du ministère malien de la Défense envers l’ouverture d’une enquête sur les abus graves qu’aurait commis les forces de sécurité lors d’opérations dans le centre du Mali est une étape importante en vue d’une plus grande obligation de rendre des comptes ».
Dans un communiqué publié en septembre, Human Rights Watch a décrit la manière dont les opérations de lutte contre le terrorisme menées en 2017 auraient engendré de nombreuses violations des droits humains, y compris des exécutions extrajudiciaires, des disparitions forcées, des actes de torture et des arrestations arbitraires à l’encontre de personnes présumées soutenir des groupes armés islamistes.
Le ministre de la Défense et des Anciens combattants, Tiéna Coulibaly, et d’autres responsables militaires de haut rang ont rencontré Human Rights Watch à Bamako le 2 octobre 2017, pour discuter des résultats des recherches menées par l’organisation. Lors de cette réunion, ainsi que dans les courriels qui ont suivi, ces représentants du ministère ont exprimé leur intention d’ouvrir une enquête sur les allégations afin que les responsables puissent être traduits en justice.
« Le soutien exprimé par le ministère malien de la Défense à l’ouverture d’une enquête sur les abus qu’auraient commis des militaires montre qu’il reconnaît que les opérations de lutte contre le terrorisme sont tributaires du respect des droits humains », a déclaré Corinne Dufka, directrice adjointe de la division Afrique de Human Rights Watch.  » Il s’agit là d’une démarche significative, mais en vue d’un véritable processus de responsabilité totale pénale, les procédures disciplinaires de l’armée devraient être complétées par des enquêtes judiciaires appropriées menées par le ministère de la Justice ».
« Le ministère de la Défense s’est aussi engagé à prendre plusieurs autres mesures importantes pour empêcher que les forces de sécurité impliquées dans les opérations ne commettent d’autres atteintes aux droits humains. Parmi ces mesures figurent l’instruction formelle aux commandants des troupes engagées de remettre dès arrestation à la disposition des unités prévôtales de la Gendarmerie toute personne interpellée lors d’opérations militaires aux fins d’enquête ; l’instruction formelle à toutes unités prévôtales de la Gendarmerie de produire un rapport mensuel sur les éventuelles violations des droits humains ; et la poursuite de la formation et de la sensibilisation des forces armées en matière de droits humains ».
Maliki Diallo

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CRISE MALIENNE Les Etats-Unis condamnent les violations récurrentes du cessez-le- feu https://www.diasporaction.fr/crise-malienne-les-etats-unis-condamnent-les-violations-recurrentes-du-cessez-le-feu/?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=crise-malienne-les-etats-unis-condamnent-les-violations-recurrentes-du-cessez-le-feu Wed, 02 Aug 2017 16:58:52 +0000 https://www.diasporaction.fr/?p=36227 jQuery(document).on('click', '.assbshareonfbbtn', function($) { var currentLocation = window.location; window.open("https://www.facebook.com/sharer/sharer.php?u=" + currentLocation, "pop", "width=600, height=400, scrollbars=no"); }); function googleplus() { var go = "https://plus.google.com/share?"; var url = "url=" + encodeURIComponent('https://www.diasporaction.fr/crise-malienne-les-etats-unis-condamnent-les-violations-recurrentes-du-cessez-le-feu/'); javascript:void window.open(go + "&" + url, '1446801293880', 'width=500,height=500,toolbar=0,menubar=0,location=0,status=1,scrollbars=1,resizable=1,left=0,top=0'); return false; } function linkdin() { var go = "https://www.linkedin.com/shareArticle?mini=true"; var url = "url=" + encodeURIComponent('https://www.diasporaction.fr/crise-malienne-les-etats-unis-condamnent-les-violations-recurrentes-du-cessez-le-feu/'); var title = 'title=CRISE MALIENNE Les Etats-Unis condamnent les violations récurrentes du cessez-le- feu'; javascript:void window.open(go + "&" + url + '&' + title + '&source=', '1446801293880', 'width=500,height=500,toolbar=0,menubar=0,location=0,status=1,scrollbars=1,resizable=1,left=0,top=0'); return false; } window.twttr = (function(d, s, id) { var t, js, fjs = d.getElementsByTagName(s)[0]; if (d.getElementById(id)) return; js = d.createElement(s); js.id = id; js.src = "https://platform.twitter.com/widgets.js"; fjs.parentNode.insertBefore(js, fjs); return window.twttr || (t = {_e: [], ready: function(f) { t._e.push(f) }}); }(document, "script", "twitter-wjs")); // function shareonfacebook(title, desc, url, image) {

Les Etats-Unis condamnent les violations récurrentes du cessez-le- feu Dans une déclaration déposée à notre rédaction, les Etats-Unis d’Amérique, à travers le Département d’Etat, ont condamné " les violations récurrentes du cessez-le- feu qui ont eu lieu au Mali entre les groupes armés signataires de l’accord de paix d’Alger de 2015". Le pays de Donald […]

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Les Etats-Unis condamnent les violations récurrentes du cessez-le- feu
Dans une déclaration déposée à notre rédaction, les Etats-Unis d’Amérique, à travers le
Département d’Etat, ont condamné " les violations récurrentes du cessez-le- feu qui ont eu lieu
au Mali entre les groupes armés signataires de l’accord de paix d’Alger de 2015".
Le pays de Donald Trump a exhorté " les parties à cesser immédiatement les hostilités et à
respecter strictement leurs obligations en vertu du droit international humanitaire et à
respecter les droits de l’homme, en particulier en ce qui concerne les civils et les prisonniers.
Nous sommes grandement préoccupés par les rapports faisant état de massacres de civils en
guise de représailles et la découverte de tombes anonymes dans les zones de conflit".
Aussi, il s’est félicité "des enquêtes menées par la mission de maintien de la paix de l’ONU,
la Mission multidimensionnelle intégrée des Nations unies pour la stabilisation au Mali
(Minusma). Si les allégations se révèlent avérées, les auteurs doivent être traduits en
justice ", ont requis les Etats-Unis.
"Nous applaudissons les efforts visant à rapprocher les parties pour se mettre d’accord sur la
cessation des hostilités et nous déplorons l’incapacité des parties dans ce domaine. Nous
appelons toutes les parties à redoubler d’efforts pour se conformer au cessez-le- feu et à mettre
pleinement en œuvre l’accord de paix d’Alger. Les États-Unis se tiennent aux côtés du peuple
malien alors qu’il travaille à la construction d’un pays pacifique, prospère et uni ", poursuit la
déclaration.
Enfin, les Etats-Unis "soutiennent également les efforts des États du G5-Sahel (le Burkina
Faso, le Tchad, le Mali, la Mauritanie et le Niger) pour créer une force commune et
entreprendre d’autres actions dans le but de remédier aux menaces qui déstabilisent le Mali et
d’autres parties de la région et qui rendent une paix durable beaucoup plus insaisissable".

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Conflits et violations liés aux électionsLa Minusma outille les médias sur les techniques de prévention https://www.diasporaction.fr/conflits-et-violations-lies-aux-electionsla-minusma-outille-les-medias-sur-les-techniques-de-prevention/?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=conflits-et-violations-lies-aux-electionsla-minusma-outille-les-medias-sur-les-techniques-de-prevention Mon, 05 Jun 2017 06:26:05 +0000 https://www.diasporaction.fr/?p=35084 jQuery(document).on('click', '.assbshareonfbbtn', function($) { var currentLocation = window.location; window.open("https://www.facebook.com/sharer/sharer.php?u=" + currentLocation, "pop", "width=600, height=400, scrollbars=no"); }); function googleplus() { var go = "https://plus.google.com/share?"; var url = "url=" + encodeURIComponent('https://www.diasporaction.fr/conflits-et-violations-lies-aux-electionsla-minusma-outille-les-medias-sur-les-techniques-de-prevention/'); javascript:void window.open(go + "&" + url, '1446801293880', 'width=500,height=500,toolbar=0,menubar=0,location=0,status=1,scrollbars=1,resizable=1,left=0,top=0'); return false; } function linkdin() { var go = "https://www.linkedin.com/shareArticle?mini=true"; var url = "url=" + encodeURIComponent('https://www.diasporaction.fr/conflits-et-violations-lies-aux-electionsla-minusma-outille-les-medias-sur-les-techniques-de-prevention/'); var title = 'title=Conflits et violations liés aux électionsLa Minusma outille les médias sur les techniques de prévention'; javascript:void window.open(go + "&" + url + '&' + title + '&source=', '1446801293880', 'width=500,height=500,toolbar=0,menubar=0,location=0,status=1,scrollbars=1,resizable=1,left=0,top=0'); return false; } window.twttr = (function(d, s, id) { var t, js, fjs = d.getElementsByTagName(s)[0]; if (d.getElementById(id)) return; js = d.createElement(s); js.id = id; js.src = "https://platform.twitter.com/widgets.js"; fjs.parentNode.insertBefore(js, fjs); return window.twttr || (t = {_e: [], ready: function(f) { t._e.push(f) }}); }(document, "script", "twitter-wjs")); // function shareonfacebook(title, desc, url, image) {

La division des Affaires électorales de la Minusma a organisé du 1er au 2 juin 2017, à Onomo Hötel de Bamako, à l’intention des hommes des médias (publics et privés), un atelier de réflexion sur une stratégie nationale de prévention des conflits liés aux élections au Mali. L’ouverture des travaux a été faite par Frantz […]

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La division des Affaires électorales de la Minusma a organisé du 1er au 2 juin 2017, à Onomo Hötel de Bamako, à l’intention des hommes des médias (publics et privés), un atelier de réflexion sur une stratégie nationale de prévention des conflits liés aux élections au Mali. L’ouverture des travaux a été faite par Frantz Mesidor de la division des affaires électorales de la Minusma avec à ses côté Marc Amougou du projet d’appui au processus électoral du Mali (Papem). Il avait comme facilitateurs Issaga Kampo, et Issa Tiéman Diarra, tous consultants d’élections au niveau de la division électorale de la Minusma. Plusieurs objectifs étaient visés par ledit atelier. Primo, permettre à la cinquantaine d’hommes de médias de cerner la problématique des crises et violences liées aux élections et de les distinguer des autres types de violences et conflits. Secundo, organisation des travaux de groupes sur le «mapping des conflits et des différentes crises au Mali» comme les catégories des conflits et violences liés aux élections et leur chronologie. Tertio, la présentation d’une ébauche de stratégie de prévention et de gestion des crises et conflits liés aux élections pour que les participants cernent mieux les différents axes potentiels de la future stratégie à mettre en place, les acteurs possibles, les objectifs visés, etc. Quarto, des travaux de groupes sur «le recensement des capacités des acteurs nationaux en matière de prévention et de gestion des conflits en période électorale recensées». Ici, des exemples sur le recensement des différents mécanismes de prévention et gestion de crises qui existent au Mali et leurs capacités réels ont été pris par les participants. Ils ont réfléchi aussi sur le nombre et le profil des médiateurs à former pour chaque site ainsi que sur les mécanismes possibles de leur recrutement, et se sont penchés sur le type de mécanisme d’alerte précoce et de mitigation des crises liées aux élections qui sied mieux au Mali. Cinquièmement, il y a eu l’élaboration et validation des recommandations de l’atelier. Aux termes des travaux donc, plusieurs recommandations ont été formulées par les participants dont l’implication forte des hommes et femmes de médias dans la prévention des conflits, violations liés aux élections.

Cet atelier entrait dans le cadre de l’organisation de plusieurs ateliers par la division électorale de la Minusma regroupant toutes les catégories d’acteurs: société civile, médias, partis politiques, institutions impliquées dans l’organisation et la sécurisation des élections au Mali. L’objet principal de ces ateliers est de permettre, selon Frantz Mesidor, de manière participative à tous les acteurs du processus électoral de dresser une catégorie descriptive et analytique de la situation au Mali et d’évaluer les capacités de la société et des acteurs nationaux dans la prévention et la gestion des conflits.
Hadama B. Fofana

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L’ONU accuse Ankara de « graves violations » dans la région kurde https://www.diasporaction.fr/lonu-accuse-ankara-de-graves-violations-dans-la-region-kurde/?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=lonu-accuse-ankara-de-graves-violations-dans-la-region-kurde Fri, 10 Mar 2017 10:11:10 +0000 https://www.diasporaction.fr/?p=32672 jQuery(document).on('click', '.assbshareonfbbtn', function($) { var currentLocation = window.location; window.open("https://www.facebook.com/sharer/sharer.php?u=" + currentLocation, "pop", "width=600, height=400, scrollbars=no"); }); function googleplus() { var go = "https://plus.google.com/share?"; var url = "url=" + encodeURIComponent('https://www.diasporaction.fr/lonu-accuse-ankara-de-graves-violations-dans-la-region-kurde/'); javascript:void window.open(go + "&" + url, '1446801293880', 'width=500,height=500,toolbar=0,menubar=0,location=0,status=1,scrollbars=1,resizable=1,left=0,top=0'); return false; } function linkdin() { var go = "https://www.linkedin.com/shareArticle?mini=true"; var url = "url=" + encodeURIComponent('https://www.diasporaction.fr/lonu-accuse-ankara-de-graves-violations-dans-la-region-kurde/'); var title = 'title=L'ONU accuse Ankara de "graves violations" dans la région kurde'; javascript:void window.open(go + "&" + url + '&' + title + '&source=', '1446801293880', 'width=500,height=500,toolbar=0,menubar=0,location=0,status=1,scrollbars=1,resizable=1,left=0,top=0'); return false; } window.twttr = (function(d, s, id) { var t, js, fjs = d.getElementsByTagName(s)[0]; if (d.getElementById(id)) return; js = d.createElement(s); js.id = id; js.src = "https://platform.twitter.com/widgets.js"; fjs.parentNode.insertBefore(js, fjs); return window.twttr || (t = {_e: [], ready: function(f) { t._e.push(f) }}); }(document, "script", "twitter-wjs")); // function shareonfacebook(title, desc, url, image) {

Genève – Les forces de sécurité turques auraient commis de « graves violations » lors des actions menées contre les rebelles kurdes depuis la fin du cessez-le-feu à l’été 2015, a dénoncé vendredi l’ONU, estimant les déplacés entre 355.000 et 500.000. Dans son premier rapport sur le sujet, le Haut-Commissariat de l’ONU aux droits de l’Homme détaille […]

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Genève – Les forces de sécurité turques auraient commis de « graves violations » lors des actions menées contre les rebelles kurdes depuis la fin du cessez-le-feu à l’été 2015, a dénoncé vendredi l’ONU, estimant les déplacés entre 355.000 et 500.000.

Dans son premier rapport sur le sujet, le Haut-Commissariat de l’ONU aux droits de l’Homme détaille les « allégations de destruction massive, de meurtres et de nombreuses autres violations graves des droits de l’Homme commises entre juillet 2015 et décembre 2016 dans le sud-est de la Turquie, au cours des opérations de sécurité gouvernementales ».

Le sud-est à majorité kurde de la Turquie est ensanglanté par des combats quotidiens entre les rebelles du Parti du Travailleur du Kurdistan (PKK), classé organisation « terroriste » par Ankara, Bruxelles et Washington, et les forces de sécurité depuis la rupture, à l’été 2015, d’un fragile cessez-le-feu. Le conflit kurde a fait plus de 40.000 morts depuis 1984.

D’après l’ONU, les opérations menées par les forces turques entre juillet 2015 et fin 2016 ont touché plus de 30 localités, dont certains quartiers ont été rasés, et entre 335.000 et 500.000 personnes déplacées, en majorité des Kurdes.

N’ayant pas été autorisé à se rendre sur place par la Turquie, le Haut-Commissariat a établi son rapport sur la base d’images satellite de l’ONU, d’interviews avec des victimes, des témoins ou leurs familles et d’informations d’organisations non gouvernementales.

Quelque 2.000 personnes, dont 800 membres des forces de sécurité et 1.200 habitants de la région, « auraient été tuées dans le cadre des opérations de sécurité dans le sud-est de la Turquie », rapporte l’ONU.

Parmi les 1.200 civils tués, « un nombre indéterminé d’entre eux pourraient avoir été impliqués dans des actions non violentes contre l’Etat », précise le rapport.

L’ONU documente aussi un « usage excessif de la force, des assassinats, des disparitions forcées, des actes de torture ».

(©AFP / 10 mars 2017 10h41)

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APRES TROIS ANS DE VIOLATIONS FLAGRANTES ET REPETEES DES STATUTS DE LA FEMAFOOT ET HUIT MOIS ET VINGT QUATRE https://www.diasporaction.fr/apres-trois-ans-de-violations-flagrantes-et-repetees-des-statuts-de-la-femafoot-et-huit-mois-et-vingt-quatre/?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=apres-trois-ans-de-violations-flagrantes-et-repetees-des-statuts-de-la-femafoot-et-huit-mois-et-vingt-quatre Tue, 11 Oct 2016 10:53:41 +0000 https://www.diasporaction.fr/?p=28229 jQuery(document).on('click', '.assbshareonfbbtn', function($) { var currentLocation = window.location; window.open("https://www.facebook.com/sharer/sharer.php?u=" + currentLocation, "pop", "width=600, height=400, scrollbars=no"); }); function googleplus() { var go = "https://plus.google.com/share?"; var url = "url=" + encodeURIComponent('https://www.diasporaction.fr/apres-trois-ans-de-violations-flagrantes-et-repetees-des-statuts-de-la-femafoot-et-huit-mois-et-vingt-quatre/'); javascript:void window.open(go + "&" + url, '1446801293880', 'width=500,height=500,toolbar=0,menubar=0,location=0,status=1,scrollbars=1,resizable=1,left=0,top=0'); return false; } function linkdin() { var go = "https://www.linkedin.com/shareArticle?mini=true"; var url = "url=" + encodeURIComponent('https://www.diasporaction.fr/apres-trois-ans-de-violations-flagrantes-et-repetees-des-statuts-de-la-femafoot-et-huit-mois-et-vingt-quatre/'); var title = 'title=APRES TROIS ANS DE VIOLATIONS FLAGRANTES ET REPETEES DES STATUTS DE LA FEMAFOOT ET HUIT MOIS ET VINGT QUATRE'; javascript:void window.open(go + "&" + url + '&' + title + '&source=', '1446801293880', 'width=500,height=500,toolbar=0,menubar=0,location=0,status=1,scrollbars=1,resizable=1,left=0,top=0'); return false; } window.twttr = (function(d, s, id) { var t, js, fjs = d.getElementsByTagName(s)[0]; if (d.getElementById(id)) return; js = d.createElement(s); js.id = id; js.src = "https://platform.twitter.com/widgets.js"; fjs.parentNode.insertBefore(js, fjs); return window.twttr || (t = {_e: [], ready: function(f) { t._e.push(f) }}); }(document, "script", "twitter-wjs")); // function shareonfacebook(title, desc, url, image) {

JOURS DE CAMPAGNES MENSONGERES, DIFFAMATOIRES, FALLACIEUSES ET CALOMNIEUSES, DE HAINE, DE MEPRIS, D’INJUSTICE, DE XENOPHOBIE, DE MONTAGE GROTESQUE, DE DIVISION, DE DESTABILISATION CONTRE LES RESPONSABLES DU COLLECTIF DES LIGUES ET CLUBS MAJORITAIRES ORCHESTREES PAR BOUBACAR BABA DIARRA La Cour suprême du football mondial (TAS) sonne la fin de la recréation et ordonne la réhabilitation du […]

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JOURS DE CAMPAGNES MENSONGERES, DIFFAMATOIRES, FALLACIEUSES ET CALOMNIEUSES, DE HAINE, DE MEPRIS, D’INJUSTICE, DE XENOPHOBIE, DE MONTAGE GROTESQUE, DE DIVISION, DE DESTABILISATION CONTRE LES RESPONSABLES DU COLLECTIF DES LIGUES ET CLUBS MAJORITAIRES ORCHESTREES PAR BOUBACAR BABA DIARRA
La Cour suprême du football mondial (TAS) sonne la fin de la recréation et ordonne la réhabilitation du bureau élu en 2013
Le Tribunal arbitral du sport(TAS) c’est-à-dire la Cour suprême du football mondial vient de vider définitivement le contentieux qui oppose la FEMAFOOT dirigée par Boubacar Baba Diarra et le Collectif des ligues et clubs majoritaires depuis le 10 janvier 2015. Du coup l’Assemblée générale organisée le 31 octobre 2015 par Boubacar Baba Diarra a été déclaré nulle et de nul effet. Conséquence directe toutes les sanctions prises à l’encontre des responsables du Collectif des ligues et clubs majoritaires sont annulées. Aussi la juridiction de Lausanne ordonne la réhabilitation du bureau élu en 2013 et la convocation d’une nouvelle assemblée générale au plus tard le 30 novembre 2016 avec le même ordre du jour de l’assemblée générale avortée du 10 janvier 2015. La décision est sans appel et en cas de refus de Boubacar Baba Diarra de se soumettre à cette décision, le Mali sera tout simplement suspendu de toutes les compétitions internationales organisées par la CAF et la FIFA
Reporté à deux reprises pour cause de Jeux Olympiques et de Jeux Para- olympiques, le verdict du tribunal arbitral du sport sur la crise qui secoue le football malien depuis le 10 janvier 2015 et qui oppose les responsables du Collectif des ligues et clubs majoritaires et la fédération malienne de football dirigée par Boubacar Baba Diarra, est tombé le 4 octobre 2016 pour le bonheur de tous les amateurs du football malien.
Comment en est-on arrivé là ?
Tout est parti lors d’une rencontre entre le président de la fédération malienne de football, Boubacar Baba Diarra et l’ensemble des clubs de première division le 20 novembre 2014 au sujet des doléances exprimées par les responsables de ces dits clubs pour la saison sportive 2014-2015. En effet les responsables des clubs de première division avaient réclamé 30 millions de francs CFA à défaut 25 millions de francs CFA. Au lieu de chercher à discuter pour mieux se comprendre et à la stupéfaction générale des responsables des clubs, Boubacar Baba Diarra n’aurait eu d’autres mots que de dire que les comptes de la fédération malienne de football sont au rouge. Pour faire dormir débout les responsables des clubs, il aurait déclaré qu’il était obligé de faire un découvert d’un montant de 300 millions de francs CFA auprès d’une banque de la place pour faire face aux dépenses de la fédération et cela en une année de présidence. Pourtant plus de 60 millions de francs CFA avaient été légués par son prédécesseur, Feu Hammadoun Kolado Cissé le 15 octobre 2013 sans oublier les 88 millions issus des ristournes du CHAN 2014. Ce qui a mis le feu aux poudres et du coup certains responsables de clubs ont exigé des explications. « On sait que Boubacar Baba Diarra est officier supérieur de la police, on sait aussi qu’il fut directeur à Selingué , directeur adjoint au service matériel et bâtiment au camp de Kati, DAF au ministère de la défense et des anciens combattants, chef de cabinet au ministère de Kafouna Koné pendant plus de 10 ans, président de la commission des litiges fonciers du district de Bamako, superviseur général de la filière gouvernementale du Hadj pendant plus de 10 ans, mais il doit comprendre qu’il ne peut pas nous apprendre comment gérer de l’argent. Qu’il nous prenne pas comme des gamins » avait déclaré un des responsables très agacé. Mais certains responsables ont décidé d’aller jusqu’au bout à commencer par le président du CS Duguwolofila, Gaoussou dit M’Pa Sylla imité par les ligues de football de Ségou et de Bamako. Au lieu de préconiser le dialogue, Boubacar Baba Diarra déclare la guerre et fait suspendre M’Pa Sylla afin de l’empêcher de participer à l’assemblée générale qui se profilait à l’horizon par la commission de discipline acquise à sa cause. Aussitôt des voix se sont élevées au sein des acteurs de football pour dénoncer cette injustice envers le président des « 7 villages ». Et ce qui devrait arriver, arriva le 10 janvier 2015 lors de l’assemblée générale ordinaire qui a définitivement scellé la plus grande crise qui ait jamais secoué le football malien depuis 1960.
10 janvier 2015- 4 0ctobre 2016
Après huit(08) mois et 24 jours de campagnes mensongères, diffamatoires, fallacieuses et calomnieuses, de haine, de mépris, d’injustice, de xénophobie, de montage, de division et de violations flagrantes et répétées des statuts de la fédération malienne de football orchestrés par la fédération malienne de football dirigée par Boubacar Baba Diarra contre les responsables du Collectif des ligues et clubs majoritaires, La Cour suprême du football mondial(TAS) sonne la fin de la recréation et ordonne la réhabilitation du bureau élu en 2013 à travers sa décision rendue le 4 octobre 2016 sur le dossier ‘’Yeli Sissoko et consorts contre la FEMAFOOT dirigée par Boubacar Baba Diarra. Après avoir déclaré être compétent pour juger l’appel du 20 novembre 2015 par Yeli Sissoko et consorts contre l’Assemblée générale du 31 octobre 2015 de la fédération malienne de football et les décisions y adoptées, le TAS dit que l’appel est recevable quant à la forme et fondé quant au fond. Statuant contradictoirement le TAS n’avait d’autre choix que de dire la vérité en annulant toutes les décisions prises après le 10 janvier 2015 jusqu’au plus tard le 30 novembre. En plus la FEMAFOOT dirigée par Boubacar Baba Diarra est condamnée à verser 6000 francs Suisse (soit environ 3 millions FCFA) aux appelants c’est-à-dire à Yeli et consorts. Conséquence directe c’est le bureau élu en le 8 octobre 2013 qui se voit réhabilité à l’exception des personnes qui ont démissionné (à noter qu’ils sont au nombre de 10 personnes). Du coup Salaha Baby, Abéta Ag Seydou, Yéli Sissoko retrouvent leurs postes au sein du comité exécutif de la FEMAFOOT car les sanctions prononcées contre eux le 31 octobre 2015 sont annulées ainsi que plusieurs responsables du Collectif. Contrairement à ce que l’on veut faire croire à l’opinion nationale (à noter qu’on assiste à une campagne d’intoxication orchestrée par le secrétaire général, Yacoubadjan par presse interposée), la décision est sans appel en ces termes ‘’le TAS rejette toutes autres ou plus amples conclusions des parties’’.
Boubacar Baba Diarra démissionnera-t-il de la présidence de la FEMAFOOT ou sacrifiera-t-il le Mali au profit de lui seul ?
La question que tout le monde se pose aujourd’hui c’est de savoir que se passera-t-il si Boubacar Baba Diarra refuse de convoquer l’Assemblée générale conformément à la décision du TAS, la réponse est claire c’est le Mali qui sera suspendu de toutes les compétitions internationales de la CAF et de la FIFA. Du coup les quatre équipes nationales à savoir les Cadets, les Juniors, les Aigles Dames et les Aigles Seniors Messieurs seront privées des phases finales de la Coupe d’Afrique des nations. Aussi les quatre clubs engagés en compétitions africaines. Selon nos informations, Boubacar Baba Diarra et Yacoubadjan Traoré aurait juré de ne pas s’asseoir autour de la table face aux responsables du Collectif des responsables des ligues et clubs majoritaires dont certains ont été suspendus de 5 à 10 ans et d’autres radiés à vie. La balle est désormais dans le camp des plus hautes autorités du pays et qui n’ont ménagé aucun effort pour que ces équipes nationales obtiennent ces qualifications. Vont-elles accepté que tous ces efforts partent à vau-l’eau au profit d’un seul homme ? Boubacar Baba Diarra va-t-il démissionner pour ne pas être en face de ses amis d’hier devenus subitement ses pires ennemis ou bien acceptera-t-il la suspension du Mali par la FIFA ? A titre de rappel le TAS demande la tenue d’une assemblée générale au plus tard le 30 novembre 2016, le même ordre du jour, outre les points énumérés à l’article 32.2 des statuts, la confirmation ou non des membres du comité exécutif désignés provisoirement avant le 10 janvier 2015 ; la révocation de Yeli Sissoko en tant que président de la commission des finances de la FEMAFOOT, la suspension de toute autre personne physique ou membre ainsi que les questions inscrites par les membres en conformité avec les délais stipulés à l’article 31.2 des statuts de la FEMAFOOT et enfin sur la convocation qui sera établie sur la liste des membres convoqués à l’assemblée générale du 10 janvier 2015. Après sa radiation à vie au sein du Djoliba et avec cette décision du TAS, on peut dire sans se tromper que ceci n’est que justice.
BOUBACAR BABA DIARRA RADIE A VIE DU DJOLIBA ATHLETIC CLUB
Voici les 9 péchés reprochés à l’ancien président
Le 1er octobre 2016, s’est tenu l’assemblée générale extraordinaire du Djoliba AC à Hèrèmakono sis à Torokorobougou. L’ordre du jour a porté sur les dures épreuves que le club a traversées depuis deux saisons. A l’issue des échanges et débats, il ressort que c’est l’ancien président Boubacar Baba Diarra qui a été jugé responsable de cette situation désastreuse Du coup il a été radié à vie pour duplicité et trahison.
Le club qui a subi de plus la crise qui a secoué le football depuis neuf mois et Un (01) jour est sans doute le Djoliba AC de la part de son ancien président (Mars 2013-0ctobre 2013) une fois devenu président de la fédération malienne de football. Du coup le Djoliba a fait face à trois ordres à commencer savoir le défi organisationnel car Boubacar Baba Diarra a fait suspendre par la FEMAFOOT bon nombre des membres du comité exécutif de toutes activités du football, le défi financier car le Djoliba n’a reçu jusqu’à présent que la moitié des subventions issues du sponsor officiel de la fédération accordées aux clubs de la ligue 1 et enfin du défi social car l’environnement des matchs de l’équipe n’était pas agréable. Il ressort que depuis l’échec de Baba Diarra à vouloir introduire le poste de président délégué (une manière pour lui d’avoir la mainmise sur le club) contrairement aux textes du Djoliba et depuis l’accession de Tidiane Médian Niambélé à la présidence du Djoliba , l’homme n’a cessé de monter des plans de déstabilisation. Ainsi sous sa houlette et en vrai chef d’orchestre, des esprits malsains se sont évertués à mettre des bâtons dans les roues du club jusqu’à vouloir par tous les moyens enlever Niambélé de son poste à celui qui a la légalité et la légitimité du pouvoir par des actes de vandalisme et de banditisme. Pire ils sont allés jusqu’à perpétrer des actes inconnus au Djoliba jusque là des comportements illogiques qui ont ému voir sidéré plein d’observateurs par leur férocité et leur stupidité envers le club qu’ils ont pourtant servi et même souvent avec panache.
Ce qui est reproché à l’ancien président
Comme cela ne suffisait pas Baba Diarra est accusé d’avoir commis certaines actions à l’encontre du Djoliba depuis le siège de la fédération malienne de football. En effet dès la passation de service comme président de la FEMAFOOT, l’ancien président a voulu introduire la notion de président délégué dans les statuts du club. Or cette notion n’a jamais existé dans les textes et même si elle devrait être introduite c’est l’assemblée générale qui décide et non une seule personne fut-elle le président, il s’en est pris aux travailleurs djolibistes allant jusqu’à relever de vieux travailleurs et l’actuel trésorier du Djoliba, il a fait expulser par la police le représentant du Djoliba lors de l’assemblée générale du 10 janvier 2015, il a déclenché une politique consciente, réfléchie pour rétrograder le Djoliba en 2e division, il a retiré sa caution bancaire au Djoliba en cours de saison pour priver le club de budget de fonctionnement et ce dès son arrivée à la FEMAFOOT comme président, il a donné un appui à la bande de voyous qui a agressé Hèrèmakono, il a soutenu ceux qui ont tenu une assemblée générale pour diviser le Djoliba, il bloque toujours les subventions accordées au Djoliba par le sponsor officiel du football malien et enfin le dernier et non moindre c’est qu’il a suspendu presque la moitié du comité exécutif du Djoliba dont le président Tidiane Médian Niambélé qu’il a radié à vie. A l’issue des échanges et débats, il s’est avéré que Baba Diarra a bafoué les valeurs morales du Djoliba. Celui que le Djoliba a porté à sa présidence et à la présidence de la FEMAFOOT. C’est sans surprise qu’il a été décidé à l’unanimité de railler à jamais c’est-à-dire de radier à vie Baba Diarra sur les annales du Djoliba pour duplicité et haute trahison. A noter qu’une grande assemblée générale de réconciliation sera organisée afin de donner une nouvelle chance aux ‘’égarés’’ en vue de restaurer l’image de l’unité et de la clairvoyance, de la cohésion et de la cohérence.
STADE MALIEN DE BAMAKO

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Crise au Mali Les violations seront-elles punies ? https://www.diasporaction.fr/crise-au-mali-les-violations-seront-elles-punies/?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=crise-au-mali-les-violations-seront-elles-punies Tue, 23 Feb 2016 22:12:24 +0000 https://www.diasporaction.fr/?p=17857 jQuery(document).on('click', '.assbshareonfbbtn', function($) { var currentLocation = window.location; window.open("https://www.facebook.com/sharer/sharer.php?u=" + currentLocation, "pop", "width=600, height=400, scrollbars=no"); }); function googleplus() { var go = "https://plus.google.com/share?"; var url = "url=" + encodeURIComponent('https://www.diasporaction.fr/crise-au-mali-les-violations-seront-elles-punies/'); javascript:void window.open(go + "&" + url, '1446801293880', 'width=500,height=500,toolbar=0,menubar=0,location=0,status=1,scrollbars=1,resizable=1,left=0,top=0'); return false; } function linkdin() { var go = "https://www.linkedin.com/shareArticle?mini=true"; var url = "url=" + encodeURIComponent('https://www.diasporaction.fr/crise-au-mali-les-violations-seront-elles-punies/'); var title = 'title=Crise au Mali Les violations seront-elles punies ?'; javascript:void window.open(go + "&" + url + '&' + title + '&source=', '1446801293880', 'width=500,height=500,toolbar=0,menubar=0,location=0,status=1,scrollbars=1,resizable=1,left=0,top=0'); return false; } window.twttr = (function(d, s, id) { var t, js, fjs = d.getElementsByTagName(s)[0]; if (d.getElementById(id)) return; js = d.createElement(s); js.id = id; js.src = "https://platform.twitter.com/widgets.js"; fjs.parentNode.insertBefore(js, fjs); return window.twttr || (t = {_e: [], ready: function(f) { t._e.push(f) }}); }(document, "script", "twitter-wjs")); // function shareonfacebook(title, desc, url, image) {

La question majeure qui taraude les esprits au Mali depuis l’avènement des graves crises politiques et sécuritaires de 2012 fait référence aux graves violations des droits de l’homme, qui ont eu libre cours dans notre pays. Seront-elles punies ? La formation sur le droit international des droits de l’homme, le droit international pénal et le […]

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La question majeure qui taraude les esprits au Mali depuis l’avènement des graves crises politiques et sécuritaires de 2012 fait référence aux graves violations des droits de l’homme, qui ont eu libre cours dans notre pays. Seront-elles punies ? La formation sur le droit international des droits de l’homme, le droit international pénal et le droit des réfugiés qui a eu lieu à l’Ecole de Maintien de la Paix du 15 au 20 février, n’a pas échappé à cette règle.

Depuis janvier 2012, le Mali est plongé dans une crise multidimensionnelle sans précédent ayant engendré des violations graves et des abus des droits de l’homme. Ainsi, les 139 participants dont des magistrats, des avocats, des officiers des droits de l’homme venus de plus d’une dizaine de pays ont été outillés pour non seulement protéger les droits humains mais également appréhender toutes violations des droits de l’homme. Vont-ils traduire la parole en acte ? En tout cas, c’est tout le sens de cette session de formation délocalisée de Strasbourg à Bamako afin que les acteurs puissent faire une meilleure prise en charge des libertés et des droits fondamentaux des citoyens, en vue du renforcement de l’État de droit et de la culture démocratique au Mali.

La crise profonde et multidimensionnelle aura lourdement affecté la situation sécuritaire du pays et conduit à une instabilité politique et institutionnelle sans précédent. Les différents protagonistes se sont livrés à de nombreuses exactions sur les populations civiles et des violations graves du droit international des droits de l’homme et du droit international humanitaire: remise en cause de la République et de la laïcité, application de la charia islamique (lapidation, flagellation, amputation, interdiction de la musique et de fumer ou de boire de l’alcool), exécutions sommaires, viols et violence, pillages, abus, arrestations et détentions arbitraires, enrôlement d’enfants-soldats, destructions de lieux de culte, etc.

Cette crise a été aussi à l’origine de nombreux déplacements internes et de mouvements transfrontaliers des populations qui se sont refugiées en Algérie, au Burkina Faso, en Mauritanie et au Niger depuis 2012. Après les élections présidentielle et législatives de 2013, des milliers de déplacés internes et de réfugiés sont rentrés chez eux spontanément, avec l’aide du HCR (Haut commissariat pour les réfugiés). La situation politique, sécuritaire et humanitaire qui s’est détériorée à partir de mai 2014 suite aux incidents survenus à Kidal a été longuement évoquée au cours des débats enrichissants entre professeurs et participants venus d’horizons différents avec leurs riches expériences.

L’auditoire, à l’image de Mme Oumou Sall Seck, maire de Goundam (dans la région de Tombouctou) bien imprégnée de la situation qui prévaut au Mali a mis l’accent sur les violations et abus des droits de l’homme aggravés par les difficultés d’accès à la justice.
Le 20 juin 2015, on assista à la signature de l’accord pour la paix et la réconciliation au Mali issu du processus d’Alger. Fruit de discussions profondes et participatives, ce document accorde davantage d’autonomie au nord du Mali et prévoit la création d’une force de sécurité régionale ainsi qu’un plan de développement pour le nord en vue d’une authentique réconciliation des Maliens. Malgré cet accord de paix, les attaques et affrontements violents continuent d’avoir des conséquences humanitaires graves, particulièrement pour les civils.

A qui impute-t-on cette responsabilité ? Selon le Professeur de droit public, Jean Matringe, la responsabilité est partagée. A l’en croire, la responsabilité première de l’Etat malien est engagée, car ce dernier est censé protéger sa population. L’Etat malien n’étant pas dans certaines zones, le Professeur indexe la responsabilité des organisations internationales. Et pour Jean Matringe, aucun Etat ne doit violer les droits de l’homme au motif d’une lutte contre le terrorisme.

Selon Me Dèye Fatou Touré, avocate Sénégalaise et ancienne député, les Etats africains doivent se mobiliser pour lutter contre le trafic sous toutes ses formes (trafic des personnes, des armes, des stupéfiants etc.) et d’aider le Mali à se débarrasser de cette crise.
Réprimer les coupables

Lors de la cérémonie de clôture tenue le 20 février à l’Ecole de maintien de la paix, Mme le ministre de la Justice et des Droits de l’Homme, garde des sceaux, Sanogo Aminata Mallé, a souhaité une justice forte au Mali pour non seulement réprimer les coupables mais également protéger les droits humains. « Notre credo demeure une justice forte pour un Etat fort au service de la paix et de la réconciliation au Mali », a-t-elle déclaré.

Rappelons que cette troisième session de formation tenue du 15 au 20 février est organisée par la Fondation Friedrich Naumann pour la
Liberté (FNF), en partenariat avec l’Institut International des Droits de l’Homme (IIDH), la division des Droits de l’Homme de la Mission multidimensionnelle intégrée des Nations Unies pour la Stabilisation au Mali (MINUSMA), et le Service de Coopération et d’Action Culturelle (SCAC) de l’ambassade de France au Mali.

Aguibou Sogodogo

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