Un sentiment partagé par les victimes, des flagellés et des violées, de ce bourreau que veulent « blanchir » des opportunistes planqués à Bamako cherchant à profiter des négociations pour avoir leur part du gâteau et allant jusqu’à prononcer la suspension de sa participation au cessez de feu signé le 24 juillet dernier à Alger. Tout cela nous réveille sur le risque lié à l’éventuel chantage des milices et des mouvements créés parfois par des représentants de l’Etat. D’ailleurs, la question hante au plus haut niveau pour que le président de la République se fasse des cheveux blancs. En tous cas, notre problème n’est pas seulement le MNLA et les islamistes blanchis du HCUA, il viendra sans nul doute de ces « monstres » créés par nous-mêmes et qui se dresseront contre quand leurs parts ne seront pas réservés.
DAK