Dans ce grin, il n’y a qu’un seul qui travaille ; le chef de grin, revenu d’Algérie, après la crise, est en train de tout faire pour trouver du boulot. L’ONG dans laquelle il travaillait a fermé boutique. Aboubacri est un autre membre du même grin, il a déposé des demandes de job partout et reste donc dans l’expectative. Sarmoye Ag est dans la même situation. Chauffeur de son état, il souhaite la réouverture de la route Gao-Kidal aux gros porteurs. Tous attendent d’avoir leur premier boulot après la crise.