Cinq jours durant, les participants venus de Bamako, Tombouctou, Gao et Kidal ont, sous la houlette de leur formateur et représentant de l’Ong internationale Search for Common Ground (SFCG), Moïse Tounkara de la Guinée Conakry, suivi des thématiques liées à la paix et à la cohésion sociale avec, à l’appui, des exercices pratiques. Consacrée au thème : «Journalisme Common Ground», cette session de formation de cinq jours a permis aux participants de se familiariser avec des notions comme «Journalisme et paix» ; «Maîtrise des techniques de conception, de production, de réalisation des émissions radiophoniques adaptées à la consolidation de la paix et à la cohésion sociale» et «La réalisation ou la mise en onde d’émissions de table ronde et d’émissions interactives jamais prises à défaut».
En procédant à la cérémonie de clôture de la session de formation, le Coordinateur général de l’Idem, Sadou Yattara, a d’abord remercié et félicité l’Ong internationale Search for Common Ground pour son soutien et son accompagnement pour la formation de ce premier contingent au service de la paix et qui doit être, selon lui, un relai pour la culture de la paix. Ce, avant de remercier les participants pour leur assiduité tout au long de la formation.
Quant au porte-parole des participants, Kader Touré de Gao, il a, au nom de ses collègues, remercié le formateur, Moïse Tounkara, pour sa disponibilité. A travers lui, les participants se sont engagés à gérer désormais la problématique de la paix partout où leur compétence sera sollicitée. Ils ont également pris l’engagement de mettre en pratique tout ce qu’ils ont appris comme notions au cours de cette formation.
Pour sa part, le formateur, Moïse Tounkara non moins représentant de l’Ong internationale Search for Common Ground a exhorté les participants à intégrer désormais la notion de paix dans leur pratique, avant de se réjouir du bon climat qui a régné durant la formation.
Rappelons qu’à la fin de la formation, chaque participant a reçu des matériels de travail composés d’un dictaphone numérique, d’un microphone et ses pieds et d’une clé USB.
FOMBUS
Source: Le Débats du 2014-03-10