Le Pari mutuel urbain du Mali (PMU – Mali) vient de pulvériser tous les records en matière de recettes s’étalant sur un mois depuis sa création. Il s’agit de janvier 2017 où la barre des 3 milliards a été franchie. Nos informations précisent que, surpris par ce résultat exceptionnel, le PDG Harouna Touré avait même demandé de revoir les chiffres. Les chiffres ? Ils sont loin d’être erronés et demeurent inébranlables.
En effet, depuis son arrivée à la tête de cette institution,Harouna Touré s’emploiepour mettre les travailleurs dans leurs droits et leur affiliation à l’INPS. A la demande des parieurs, il publie aujourd’hui régulièrement la masse à partager et le premier tableau électronique a fait son apparition sous sa houlette. Cette masse à partager a pris l’ascenseur en raison d’une politique sociale qui privilégie les parieurs, désormais unanimes que l’ordre et le désordre sont mieux dotés. Ce n’est pas tout car l’homme continue sa politique d’assainissement du microcosme du PMU – Mali devenu jadis inhospitalier par des pratiques peu amènes. Faut-il conclure que Papou est la panacée pour les parieurs ?
En tout cas, la vente des tickets parallèles qui annihilaitla bonne marche de la société est devenue un mauvais souvenir. Etre social et sociable en prêtant attention sur les intérêts de l’Etat, voilà la nouvelle démarche de la société. Autant les parieurs se lèchent les babines, autant l’Etat est « rémunéré »à hauteur de 200 millions FCFA par semaine, selon nos sources, toutes choses qui prouvent que Harouna Touré est soucieux du développement de son pays. Papou est-il devenu une solution à l’instabilité sociale à travers les mesures courageuses qu’il a prises ?Sa politique stimule les parieurs, les 3,100 milliards enregistrés, rien que pour le seul mois de janvier,sont une preuve que, bien plus qu’un jeu, les paris sont un plaisir,
Issiaka Sidibé