J’ai bien aimé la dernière sortie du président français, Emmanuel MACRON, face aux africains; de l’ouest plus précisément.
La situation est très complexe, compliquée et décisive. L’heure est grave, nous sommes à un point de rupture, et même de non-retour. Nous sommes à la veille de « quelque chose va se passer ».
Le 14 décembre 2019, à Pau; l’extrême sud-ouest de la France. À 453 km de Poitiers, une ville chère à Charles MARTEL. Il va se passer quoi à Pau? On le sait déjà. Les cinq vieux vont dire au jeune: « Nous voulons que la France reste. Nous demandons à la France de rester. Nous l’assumons ».
Le problème sera-t-il réglé pour autant? Non. MACRON a dit que l’ambiguïté, à l’égard des Mouvements anti français, était parfois portée par des responsables politiques. C’est surtout ça qui exaspère #Jupiter: il envoie ses soldats se faire tuer par les Sarrazins des ans 2010 et ils rouspètent parfois. Il s’agit de Mais, IBK et ISSOUFOU, les deux faiblards. Et de deux « camarades » de l’International socialiste ! Ce sont ces deux qui ont parfois la langue fourche.
Ils vont se taire désormais !
Mais nous autres, »peuplades », ces chef d’État peuvent ils nous faire et notre anti françaisïsme ? Non bien sûr ! IBK vient de voter des lois anti liberté d’expression. Il peut les appliquer, remplir les prisons et en subir les conséquences. C’est à lui de choisir. Mais, moi je ne le lui conseille pas.
Et alors? La question reste entière : Voulons-nous les forces étrangères chez nous. Ou pas ? Il y’a plus de questions, d’inconnus et de zones d’ombre à cette question que de réponses. Le « y’a qu’à… » est puéril. Nous devons nous comporter en adultes. Ou périr pour de bon.
- Tall