Ce sont les opérateurs économiques, cadres et militants de cette formation politique qui sont les grands et petits porteurs de cette société, créée par l’Etat. Aujourd’hui, on prête au Premier ministre, Cheick Modibo Diarra, de vouloir parachuter l’oncle de sa femme, Abdrahamane Sissoko, connu sous le sobriquet de «Ramos». Si cette intention se confirmait, bonjour le népotisme, le favoritisme et surtout la revanche.
Le Chef du gouvernement doit se rappeler du fait que la révolution du 26 mars a commencé sa phase active avec la nomination de Ramos à la Direction générale des Douanes. Le peuple est réfractaire à l’injustice. Il veille sans rien dire. Un de ses quatre jours, il fait éclater sa colère. Celle-là même, qui fera partir les princes du jour.
Attention donc au clientélisme et toutes sortes d’injustice. A bon entendeur, salut !
C.T
La Redaction 22 septembre 18/10/2012