En responsables, ils ont rompu le contrat de plus de 200 millions avec Pasteur. Ils se rebattent maintenant sur d’autres cliniques et un grand hôpital de la place, pour soigner leurs soldats et personnels qui tomberaient malades au Mali. D’après nos sources, la décision exigeant la rupture du contrat est venue de Washington. Que cette clinique se permette «une telle bêtise» est incompréhensible, selon notre source, d’autant que son choix avait été motivé par le professionnalisme du corps médical, supposé réunir les meilleurs du Mali. Cette situation ne va-t-elle pas jouer sur la clientèle de la clinique Ebola ?