« On a quelques informations. Il y a des sources qui sont assez nombreuses, qui parlent beaucoup, on ne sait quelle est la vérité exacte qui se cache derrière ces propos », a-t-elle expliqué. »En tout cas, nous pensons à eux tous les jours, nous attendons leur retour, et nous sommes forcément discrets sur un certain nombre de sujets », a ajouté Lauvergeon, en refusant de répondre à une question sur leur localisation.
Le 16 septembre 2010, sept personnes, dont un cadre d’Areva et son épouse, tous deux Français, ainsi que cinq employés (trois Français, un Togolais et un Malgache) de son sous-traitant Satom, filiale du groupe Vinci, ont été enlevées à Arlit dans le nord du Niger, un site d’extraction d’uranium.
L’ Indicateur Renouveau 04/02/2011