Le gouvernement présente à la famille du défunt ses condoléances les plus attristées et l’assure que cet acte condamnable ne restera pas impuni.
Le gouvernement, en attendant de déterminer les circonstances exactes de ce crime, reste persuadé que ce qui s’est passé a été favorisé par l’environnement d’insécurité créé par l’occupation des régions du Nord par des forces sans loi ni foi. Elles seront tenues responsables de tous les crimes qui y seront commis, conformément au droit humanitaire international.
Bamako, le 26 juin 2012
L’Indicateur du Renouveau