Il a insisté sur ce point lors du lancement de sa campagne, dimanche dernier, à Mopti. Cet engagement, indique Soumi, n’est pas seulement une promesse électorale, mais une ambition qu’il nourrit pour les « cordonniers mal chaussés » que les hommes et les femmes de médias. Car, c’est un leurre, ajoute-t-il, de croire à une vraie démocratie, au développement et à la croissance économique du Mali, sans une presse responsable et forte.
Aujourd’hui, nul n’est sans savoir que les partenaires techniques et financiers conditionnent, de plus en plus, leur aide au respect des principes démocratiques et de la liberté de la presse.
La réforme de la presse, l’amélioration des conditions de vie des hommes et les femmes de médias à travers l’application de la convention collective, l’augmentation de l’aide à la presse, seront le premier chantier auquel Soumaïla Cissé s’engage à faire face, s’il est élu président de la République.
A. D.
L’indicateur Renouveau 2013-07-12 09:35:10