Avec les 100 policiers qu’il avait l’habitude de gérer, a dit le guide religieux, tout s’est toujours bien passé. Donc avec une parfaite Baraka. Au contraire, c’est au moment où les effectifs ont été triplés et que ceux-ci n’étaient plus sous l’autorité du guide que le malheur est arrivé. Les policiers, qui passent l’essentiel de leur temps à racketter les conducteurs de Sotrama et empêcher les journalistes de faire leur travail, sont-ils sans baraka ?
Baba Dembélé
Le Républicain 01/03/2011