Les secrets bouleversants de la gestion calamiteuse du ‘’Djihadiste’’ du football malien
En effet depuis la dissolution du comité exécutif de la fédération malienne de football, le 8 mars 2017, l’heure est aujourd’hui au déballage et aux révélations accablantes contre le Général pleurnichard de Malabo. Après les malversations financières et les surfacturations portant sur l’électrification des terrains du Stade, du Djoliba, du Réal et du gazonnage du terrain de Baraouéli, voici un autre procédé qu’utilise le ‘’Djihadiste’’ du football malien pour continuer à faire main basse sur les fonds alloués au football malien par la CAF/FIFA et l’Etat malien. Une tactique que l’ancien président déchu de la FEMAFOOT pensait parfaite. Mais hélas pour lui, il avait oublié un petit détail que tout bon policier ne devrait pas oublier à savoir qu’un crime n’est jamais parfait. Du coup l’histoire vient de donner raison à Alpha Oumar Konaré lorsqu’il avait mis en garde son successeur Amadou Toumani Touré le 8 juin 2002 de se méfier de Boubacar Baba Diarra, contrôleur général de police d’alors. Pour ceux qu’ils ne savent pas Boubacar Baba Diarra DAF d’alors au ministère de la Défense et des anciens combattants, avait été relevé pour faute grave. N’eut été l’intervention de son protecteur Dioncounda Traoré, Alpha Oumar Konaré avait juré de l’envoyer en prison pour le restant de ces jours. A défaut de l’envoyer en prison l’ancien président de la république du Mali (1991-2002) l’avait mis au garage jusqu’à la nomination de Feu Kafougouna Koné comme ministre de l’administration territoriale ou il fut son chef de cabinet. Ce n’est pas donc étonnant de voir que seize jours après son renvoi à la présidence de la fédération malienne de football, Boubacar Baba Diarra continue de défier le président de la république, Ibrahim Boubacar Keita et l’Etat malien. Cela n’est pas surprenant pour qui connait le parcours de ce natif de Koniakari. Rappelons que l’ancien président de la FEMAFOOT avait été renvoyé comme directeur à Sélingué, comme DAF au ministère de la Défense et des Anciens combattants, comme responsable à la SMB de Kati. Il fut chef de cabinet au ministère de l’administration territoriale pendant plus de 10 ans ou il cumula le rôle de coordinateur de la filière gouvernementale du Hadj, président de la commission des litiges fonciers du district de Bamako (on comprend maintenant pourquoi il ne fait que distribuer des titres fonciers des lots à usage d’habitation à ses larbins) avant d’être chassé par les putschistes du 22 mars 2012. Se croyant être toujours au vieux temps Boubacar Baba Diarra met en place un mode opératoire pour justifier ses différents détournements des fonds alloués par la CAF/FIFA et l’Etat malien depuis 2013. En véritable flic qu’il parvient à appâter certains conseillers de la présidence connus, l’ancien premier ministre, Modibo Keita, des ministres proches du chef de l’Etat, l’ancien procureur général de la république, Mamadou Lamine Coulibaly qu’il nomme président de la commission de recours, l’ancien procureur de la Commune III, Alou Nampé, certains sages du Stade malien de Bamako comme Dioncounda Samabaly dit Sam Fiman(on comprend maintenant pour ce dernier ne pouvait pas siéger au sein du CONOR sous peine d’être traité de traitre s’il ne l’est pas déjà en trahissant l’intérêt général du football malien), Dioncounda Traoré, Banou Makadji, Amadou Diakité à travers un projet machiavélique dit Panier Sounakari (voir copie) qui coûte chaque année Un million Quatre Cent Vingt Cinq Mille francs (1.425.000 F) CFA pour sauver ses arrières en cas de pépin. Pour mieux redorer son blason et publier tous ses écrits retrouvés dans son ordinateur, il offre gracieusement à certains directeurs de publication, Un million Cinq Cent Mille francs(1.500.000) CFA comme abonnement annuel par organe sans oublier les 30 à 40% envoyés à Primo Carvalho sur les fonds offerts par la FIFA(voir note confidentielle) et l’achat de nouvelle voiture(voir copie) pour le président lui-même. Et au même moment les clubs maliens, les ligues, les districts, les arbitres et le personnel de la FEMAFOOT broyaient du noir. On comprend maintenant pourquoi il a décidé de faire appel au président de la fédération Equato-guinéenne de football pour qu’il lui vienne en aide financière. A croire en lui, il doit payer ses employés qui sont au nombre de 30(voir lettre).
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