Leur ignorance constitue la première arme de ce maintien à l’esclavage. Un grand homme une fois déclara : la meilleure façon de cacher quelque chose à un Noir est de la mettre dans un livre. Nous vivons actuellement à l’âge de l’information.
L’avidité est une autre puissance de contention. Les Noirs, depuis l’abolition de l’esclavage, ont eu de grosses sommes d’argent à leur disposition. L’an dernier pour la période des fêtes de Noël et de fin d’années, ils ont dépensé 10 billions de dollars qui représentent leur revenu annuel (2,22%). N’importe qui d’entre nous peut les utiliser comme un marché cible pour quelque soit l’entreprise. Ils viendront toujours y consommer. Etant principalement des consommateurs, ils agissent par avidité, poussé par le plaisir et le désir de toujours posséder. Ils veulent toujours en posséder davantage sans penser le moins du monde à épargner ou à investir. Au lieu de démarrer une entreprise, ils penseront de préférence à s’acheter de nouvelles paires de chaussure tennis. Certains vont jusqu’à négliger leurs propres enfants pour se procurer les tout derniers modèles Tommy ou Fubu.
Ils pensent jusqu’à présent que rouler en Mercedes et vivre dans une grande maison leur octroient un certain « statut » ou qu’ils ont réalisé le rêve américain. Ils sont fous ! La majorité des leurs croupissent encore dans la pauvreté parce que leur avidité les empêche collectivement de constituer de meilleures communautés. Ils continueront de s’exhiber ainsi les uns devant les autres pendant que nous autres nous construisons une communauté plus forte à partir des profits que nous réalisons d’eux. L’un des leurs, Dubois, disait dans le livre, le dixième des talents (1 /10), qu’il existait une désunion viscérale dans leur culture.
Leur égoïsme : l’égoïsme est enraciné en eux depuis des temps de l’esclavage et c’est l’une des principales manières à travers lesquelles nous continuons à les y maintenir. Leur égoïsme ne leur permet pas de travailler ensemble des projets pour atteindre des réalisations communes. Ils ne réaliseront jamais ce que nous avons accompli. Quand ils se mettent ensemble, ils laissent leur ego dominer leurs objectifs communs. Donc leurs prétendues organisations d’aide et de charité semblent seulement promouvoir leurs noms sans apporter de réels changements au sein de la communauté. Ils sont heureux de siéger dans les conférences ou des conventions dans nos hôtels, discutant au sujet de ce qu’ils projettent de faire tout en récompensant par les plaques d’honneur et des titres les meilleurs orateurs mais non les meilleures réalisations (ceux qui en fait agissent).
Y aura-t-il une fin à leur EGOISME ?
Inter de Bamako 22/11/2010