Nous devons faire la part des choses, c’est-à-dire séparer nos œuvres en deux catégories, nos Découvertes et nos Inventions. Nos Découvertes sont «les preuves tangibles et irréfutables de la matérialité des mots et des nombres». Car les mots sont vivants, plus réels (parole, écriture, caractères partout…) que tout ce qu’il nous est donné de savoir ou de croire (Dieu, anges, djinns, esprit, matière…, tout).
Nos créations ou inventions sont la numérologie révélatrice et les dictionnaires numériques, comme applications de nos découvertes, outils d’explication et de clarification de Mot-Nombre. Le Mot-Nombre, c’est le raccourci du savoir. Ce sont toutes les formes d’existence de la matière, preuves de la matérialité des mots et des nombres, basées sur les formules et sur des arguments dans la littérature. «Les nombres gouvernent le monde». Victor Hugo argue et soutient que «les mots sont nos Dieux».
Les mots et les nombres sont des alignements de caractères, qu’on nomme lettres pour mot, et chiffres pour nombre (dictionnaire). Au plan de la structure (succession horizontale des caractères), il n’y a donc pas de différence. La différence voulue réside plutôt dans 3 rôles abstraits (graphique, littéral, numérique) en 2 (lettre et chiffre). Il y a deux exemples de Mot-Nombres (Sanogo115676 et Sidibé194925), comme deux ondes-particules en physique quantique.
Mot-nombre, c’est le pensé et l’impensable, l’audible et l’inaudible, comme en mystique tibétaine. C’est l’interface matière-esprit, le dénouement du problème fondamental de la philosophie: «Forme et Rapport de forme » de Platon, «Définition / Interprétation » de Socrate, « Être-ainsi » d’Albert Einstein (s’agissant de l’espace en extension infinie, en continuum-espace-temps).
C’est Dieu de la Bible, du Coran, Jésus la parole et le souffle de Dieu à Marie. Au départ était le verbe. C’est «seule enfante sa mère la parole», comme Dieu et Jésus, en langue bambara.
La Numérologie révélatrice a comme outils didactiques les dictionnaires numériques, tous les deux étant des créations issues de nos découvertes. Elle se définit comme étant l’ensemble des techniques et mécanismes de détection de savoir, de la poésie aux sciences académiques. Même l’intuition y est incluse, comme la chance de tomber sur les évènements.
Les dictionnaires numériques sont basés sur le regroupement des mots en fonction d’un ou plusieurs critères. Il y en a donc plusieurs types. Mais le terme numérique n’est pas ce que l’on entend pour les NTIC, qui différencient l’analogique et le numérique.
Quel peut être, à votre avis, l’intérêt de ces découvertes?
Les trois types de dictionnaires numériques ont des avantages qui diffèrent. Les dictionnaires simples sont des outils pédagogiques bien indiqués pour l’initiation des enfants à l’écriture, à la lecture, à la recherche. Les dictionnaires mixtes et complexes sont plutôt indiqués pour la recherche, en science, en linguistique, en religion, en mystique…, et en matière de recherche de paix
Pour les savants, ce sont les grandes perspectives de recherche, notamment linguistiques, qui sont à découvrir. Une langue universelle avec les dictionnaires numérique est possible et est rendue facile avec le numérique. L’intérêt sera davantage perçu lorsqu’il s’agira de mobilisation des savants, comme pour la création du Cercle de Vienne, qui avait pour objectif de réussir une langue parfaite.
S’agissant de la numérologie révélatrice, vous aviez prédit le destin national de Dioncounda Traoré. Ce qui s’est réalisé, même si c’est dans des circonstances dramatiques. Maintenant, vous parlez de Modibo Sidibé à la tête de l’Etat malien. Ne craignez-vous pas d’être taxé de partisan intéressé du candidat et surtout d’être démenti, de façon cinglante, par les faits?
Intéressé par quoi, l’argent ou le pouvoir? Chacun est libre de dire ce qu’il veut. Si Dioncounda savait, c’était déjà moi la personne à chérir plus que sa femme et ses enfants. Son conseiller spécial, avec les tous les honneurs, c’est encore moi, j’insiste. Mais avec Capitaine Sanogo (autre serpent), ça marche! Peut-être que Modibo, qui hésite encore, aura plus de baraka pour me faire vite un chèque en blanc. A propos de craintes pour les élections, je n’en ai aucune. C’est une affaire dans le sac, car j’ai la possibilité de faire voter les anges pour Modibo Sidibé. Ça je peux, je suis le petit-fils de Koké Amadou Sanogo, qui fit fuir l’Archange Gabriel, qui le sermonnait à abandonner la géomancie. Voilà un clin d’œil à Amadou Haya Sanogo, s’il est intelligent. Qu’il s’informe vite pour courir à Nyamina (avec sa mère Hawa noire) pour la tête de la MINUSMA.
Vous avez besoin d’intelligence au niveau du Fare pour le savoir, si vous voulez jouir de vos efforts! Attention vraiment à ne pas sortir bredouille! Bref avec le nouveau numéro de téléphone de ma fille, «parente aux Sidibé», et la carte Nina, le Fare peut tout de même jubiler sa victoire. Modibo Sidibé a été trop médit, trop maudit, et maintenant c’est ce prix que Dieu lui fait: hon (prends)! Il faut arrêter de médire ou de maudire les autres, même si on dit en partie vrai. Mieux, je dois révéler que c’est Dieu qui est intéressé, car pressé de voir son prophète soigné et guéri par Modibo Sidibé.
Dans votre tableau, le 1er août, pratiquement le lendemain du 1er tour de l’élection présidentielle, tombe sur un jour de crise à l’échelle mondiale. Que doivent faire les Maliens pour la prévenir?
Je dis bien que le monde est entré, comme au 20ème siècle, dans une période de crise monstrueuse avec une seule date de crise qu’est le 01/12/2009. Le 21ème siècle est la réplique (comme fils avatar du père). Cette crise va s’accroitre suivant une progression arithmétique (de raison 1 année), jusqu’à 12 ans (2019), où les crises atteindront leur pic. Elles s’y maintiendront pendant 20 ans (2020 à 2040). Nous ne sommes qu’en 2013, avec 5 dates de crise (01/08/ 2013; 02/09/2013; 03/10/2013; 04/11/2013; 05/12/2013). Cela va continuer de plus en plus durement. Le premier août est, bien sûr, la première date de crise de 2013. Un gouffre évident! Ce que doivent faire les Maliens? Croiser les bras!
Aujourd’hui les Maliens sont déboussolés. Avant, il y avait quelques noms de saints célèbres (Cheick Abdoul Kader, Cheick Ahmad Tidiani, Cheick Hamahoulah…), mais maintenant, ces saints sont dépassés, et la sainteté est même un petit titre. Des maîtres postulent pour la prophétie, à tel point qu’ils en prennent peur après l’avoir acquise. Bien prédit: sont-ils les faux prophètes que Jésus a décrits à son retour? Sûr, sûr..! Que dois-je leur dire, et que puis-je leur dire? Tant pis pour tous ceux qui ne nous ont pas encore compris, candidats prédits, politiques, confrères et autres. Quel dommage pour de valeureux confrères que j’ai connus admirables! Les dates-nombres leur parlent à tous. Les dates devancent de loin tout prophète.
Y a-t-il un rapport entre votre découverte sur les dates-nombres et les arts divinatoires comme l’astrologie?
Il y en a bien sûr! Il n’y a qu’une seule science en réalité, académique ou non, celle de l’omniscience, en deux: omniscience et omnipotence. Lorsque l’on maîtrise bien une seule science, quelle qu’elle soit, ça veut dire que l’on maîtrise toutes les autres. Et les arts divinatoires ne font pas exception. L’astrologie, qui se base sur les dates, à l’évidence garde un rapport étroit avec dates-nombres. Jésus disait: «il n’y a rien de caché qui ne doive être connu, ni de secret qui ne doive être révélé». Ceux qui savent l’astrologie confirmeront vite mes révélations et même cette mission prophétique.
Avez-vous un appel à lancer?
M.Sidibé avec cette question comme la 4ème question, c’est Dieu qui la pose et c’est lui qui répond. Tu sais j’avais mis le nom de ma première fille (Aichatou) avec son numéro de téléphone, puis un certain sentiment me l’a fait retirer. Mais voilà comme Dieu la ramène. C’est vrai les Sidibé l’ont chérie, elle qui a rêvé comment le bonheur surprend au Mali, avec une tornade, un grand vent et une grande pluie (comme ce lundi), dans lesquels les gens se cherchaient, jusqu’à chez nous. C’est comme cela que Dieu a prévu de secourir le monde avec Jésus-Christ fils de Marie. Et c’est bien clair dans la sourate 30 du Coran (Les Romains). Les Romains, ce sont les Blancs (nazara), venant à l’origine des Nazaréens qui ont secouru Jésus. Ceux-là qui ont secouru le Mali avec l’opération Serval, en encourageant la MISMA et la MINUSMA. Tout est clair dans cette sourate. Mopti, tonnerre, éclair, sont codes. Mon appel sera entendu (6ème signe), c’est le vent qui devance la pluie (7ème signe). Tu as posé 7 questions, savais-tu ces 7 signes comme appels programmés pour annoncer Jésus Fils de Marie, aux Chrétiens, aux Musulmans. Jésus (Seydna Issa, Âme de Dieu), pas Simple Issa d’un chérif. C’est lui seul Chérif, seul Haidara, qui va dégager tout autre chétif et non chérif! C’est Jésus seul Haidara, Issa l’Âme, Islam, est-ce clair vraiment?
Votre mot de fin?
Entrez au paradis (Sourate les prophètes V105) avec Amadou Haya Sanogo, révélé seulement Samedi par Marie, mère de Jésus. Il a remis 800 exemplaires du Coran au Président du Haut Conseil Islamique. Et c’est bien le cap pour les Maliens, nonobstant leurs dirigeants. Que le salut soit sur vous, avec mes sacrifices (encore plus grands).
Propos recueillis par Yaya Sidibé
Le 22 Septembre 2013-06-01 23:02:55