Il était venu prendre un pot dans un bar et décide de rentrer dans la chambre avec une professionnelle de sexe; sa mort s’en est suivie.
Les faits remontent au lundi, 28 juin 2021. T. M, un homme marié et qui a des enfants, lors d’une balade nocturne dans un quartier populaire de Bamako, rencontre une professionnelle du sexe.
Très vite, il fut séduit et il a fait un passage à l’acte.
Ce jour-là, pour tromper la vigilance de sa femme, il l’avait informée qu’il allait se balader, mais il avait plutôt rendez-vous.
Il était censé retourner un peu plutôt auprès de son épouse, ce qui n’a pas été le cas.
Selon des témoignages recueillis sur place. T. M. a passé une moitié de la nuit en compagnie de sa dulcinée.
La première partie de la nuit s’est déroulée sans problème.
Il est arrivé un moment où une dispute a éclaté entre les deux tourtereaux.
Il a fallu faire recours aux employés de l’auberge pour calmer les ardeurs.
Après une nuit bien remplie et aux environs de trois heures du matin, T.M, s’endormit sur le ventre.
Quelque moment plus tard, la compagne s’est rendue compte qu’il ne respirait plus. Elle l’a secoué à plusieurs reprises, sans succès.
Affolée, elle va courir pour aller chercher de l’aide auprès des employés présents.
Ainsi, l’alerte fut donnée.
Les uns et les autres se réveillent, curieux de savoir ce qui se passe. La police aussi alertée se rend sur les lieux pour constater les faits.
L’horreur est là, M. T n’était plus. La police ordonne au responsable des lieux d’appeler les services de la protection civile pour le retrait et le transfert du corps dans un service civique Thana logique (la morgue) de la place.
Les pièces trouvées sur le cadavre serviront à l’identifier et alerter son épouse, qui va accourir toute larmoyante en criant : «Mon mari n’est pas mort. Il est en voyage ». À la vue du corps de son époux, elle va s’évanouir et elle ne sera réanimée que très tard.
Une enquête a été ouverte pour faire toute la lumière sur cette mort insolite.
Selon certains, M. T. n’était pas à sa première expérience.
A D
Source : Plume Libre