Votre navigateur ne gère peut-être pas l’affichage de cette image. Une ère déjà acquise, mais il en reste beaucoup et encore de plus.
De Léopold Sedar Senghor, Aimé Césaire, Bernard Dadié, Aké Loba, Joseph Ki Zerbo, Amadou Ampathé Bah, Ousmane Sossé de la sembène, Seydou Badian ; Enfin pour citer que ceux-ci sans autant oublier l’existence et d’exigence omni potentielle de l’historienne Madame Adam Bah Konaré, l’historienne de toute époque ; Comment puisse ai-je m’approcher de vous, grand homme de l’Afrique, constructeur de la première muraille Africaine, pour moi si ce n’est qu’ainsi et en cette manière. De ce pôle tout a fait incliné vers l’océan atlantique, où le soleil brûle en toute saison de l’année, d’où l’homme noir considéré à la manière des quadripèdes n’était guère de raison.
C’est dans cet état psycho sublime et morose que d’autres ont eu l’idée psychologique de se retirer du groupe. Allant ainsi, hirsute et sanglant arracher à main du colonialiste français leur réhabilitation totale et entière dont la notre fut le MALI …
Le Mali de 1125-1255, de 1255 à 1960.
Mais oui ! Il n’a jamais existé d’après Léopold Sedar Senghor tel rejeton de telle race ou de tel peuple.
Et voilà une résurrection totale en foi et en matière ressuscité en la personne de Monsieur Modibo Keita, premier président de la République du Mali paix à son âme.
Oui ! Modibo Keita qui a tué la terre ignorance dans ma commune ex Niambina précisément Horokoto.
Récente, la première promotion de cette école, une venait de prêter le serment à la cour malienne, nommée comme inspectrice d’Etat Goundo Sissoko.
Honneur au trépas !
La patrie tant mieux souffrir,
Pour tant mieux accueillir à sa devise ;
A l’armée, gloire triomphale.
Que vive le Mali de 1125 à 1960,
Pour toujours, et notre confrère,
Qui est au ministère d’Etat et de la défense,
Vint doubler nos quarts de café et de pain.
Vive le Mali, vive le gouvernement du Mali,
Et vive le chef d’Etat qui, son excellence Amadou Toumani Touré,
Ici je surnomme les sauveurs chancelier suprême de la nation malienne que Africaine.
Que Dieu crucifie sa pensée, sa mémoire en exauçant toutes ses méditations allant vers l’Afrique et à l’endroit des Africains.
Nota : je rappelle à la mémoire de tout un chacun philosophe ou ontologue, littéraire ou historien, académicien ou écologiste bref, sage ou religieux, sachez enfin que le Mali qui est notre est l’une des terres promises…
Par le dévoyé Maurice Pharasbén dit Moriké Sissoko,
Auteur inconnu d’où il n’y a rien de connu sur terre et
Cieux, chef de village de Horokoto, principal héritier à feu Fily Dabo Sissoko
L’Indicateur Renouveau 24/11/2010