Lundi dernier, Ag Erlaf disait que le Mali n’échappera pas aux effets négatifs de la crise libyenne, car les armes vont se propager dans l’espace sahélo saharien. C’est dire que les crises des autres pays sont devenues ‘’ nos crises. ‘’ C’est, aussi, souscrire à l’idée qu’il ne faut jamais se réjouir du malheur des autres, en particulier, de celui de nos voisins immédiats.
Baba Dembélé
Le Républicain 18/03/2011