BɛNKAN, le Pacte citoyen, est représenté par 7 mains, 4 mains de femme et 3 mains d’homme, unies par la main droite.
La main droite symbolisant la main généreuse, celle qui donne, celle qui protège, celle qui rassemble et celle qui unit.
Le chiffre 7 pour magnifier nos valeurs ancestrales ;
comme représentant l’alliance entre la femme (4) et l’homme (3) ;
comme repoussant le malheur et le Seitan ;
comme appelant le bonheur et l’allégresse.
Il s’agit également de faire allusion aux 7 jours de la semaine en valorisant le travail et l’abnégation.
Enfin, 7 pour annoncer l’ambition économique d’émerger comme un pilier solide parmi les 7 voisins du Mali.
La devise de Bɛnkan est « BɛN, BAARA, ɲɛTAA », et son slogan « Unis pour le Mali ».
LE PRESIDENT DES JEUNES ‘’BENKAN’’ OUSMANE DIARRA GOUSNO
«Seydou M. Coulibaly peut être un bon président pour le Mali »
Figure emblématique de la lutte estudiantine de 2002 à 2008 et 2e vice-président du Conseil national de la jeunesse (CNJ) depuis novembre 2019, Ousmane Diarra alias Gousno analyse froidement les chances réelles de Seydou Mamadou Coulibaly à devenir le prochain président de la République du Mali
Ousmane Diarra dit Gousno vient de s’engager dans une nouvelle mission : assurer la mobilisation totale des jeunes dans le processus d’élection de son candidat Seydou Mamadou Coulibaly à la présidence du Mali à l’issue de la prochaine élection présidentielle. En sa qualité de premier responsable de la jeunesse du Mouvement Benkan (pacte citoyen en bambara), celui qui est familièrement appelé Gousno est convaincu que l’avenir et le devenir de ce pays reposent sur sa jeunesse comme fer de lance. Il appelé donc à une prise de conscience détournée de toute manipulation.
Pour lui, le porte-étendard du Pacte Citoyen, en l’occurrence Seydou Mamadou Coulibaly, est une alternative crédible qui doit guider le choix des Maliens et surtout de la jeunesse à la prochaine élection présidentielle.
Parlant de l’état de santé du mouvement Benkan, le Pacte citoyen, l’ancien leader estudiantin rappelle qu’il s’agit d’un jeune mouvement politique qui a vu le jour le 4 avril 2021. et qui se porte très bien aujourd’hui.
Et d’ajouter que ce dynamisme du mouvement est surtout lié à la place de sa structure jeunesse, qui est valablement représentée sur toute l’étendue du territoire national, et est en passé d’être installé dans la diaspora. “ a L’image des autres formations politiques, bien qu’on soit un jeune mouvement, BENKAN a été créé pour aller à la conquête du pouvoir démocratique. A ce titre, nous avons les rudiments et les armes nécessaires pour faire face à toute compétition électorale”, a-t-il souligné.
Quel regard Ousmane Diarra dit Gousno a sur l’establishment politique malien? Quid de Seydou Mamadou Coulibaly, le leader du mouvement Benkan? Ce dernier peut-il être une alternative crédible ? Le jeune leader des jeunes du Mali répond sans ambages.
“Je pense que Seydou est une chance, plus qu’une chance pour le Mali. Vu le parcours de l’homme, vu son carnet d’adresses au plan national et international, du fait qu’il soit pour la première fois sur la scène politique, accorde un avantage. On peut lui accorder le bénéfice du doute.
A l’image des grandes puissances comme les Etats Unis, qui ont fait élire un homme d’affaires à la tête de leur pays.
Tout près encore, le Benin aussi a montre toutes les preuves.
Un homme comme Seydou est à essayer, puis que ce sont des entrepreneurs qui ont pu réussir dans leur
domaine pendant près de vingt-cinq voire, trente ans.
La gestion du pays ne doit plus poser de problème, à condition qu’une fois élu président, il puisse faire entrer des hommes et des femmes de valeurs, des patriotes comme lui, afin que le pays puis se prendre son envol vers le développement.
Parlant des qualités du président du mouvement Benkan, l’orateur dira que les Maliens doivent s’amuser à enquêter sur l’homme, de l’école fondamentale à Markala, en passant par le lycée à Bamako, et voir le contexte dans lequel il a pu bâtir son entreprise CIRA, pour pouvoir se positionné comme une élite parmi des entreprises africaines, voire mondiales.
“Je pense que c’est une référence.
Il est sérieux, courtois, très humble et à l’écoute des autres.
Je pense qu’un Seydou Mamadou Coulibaly comme Président de la République du Mali, il suffira seulement six mois pour que nos compatriotes se rendent compte effectivement de la possibilité d’aller au développement tant réclamé par le peuple. Parce qu’il a la fibre patriotique ;il est engagé pour ce combat ; il aime à le dire ; il veut redonner aux Maliens ce que le Mali lui a donné.
Je ne doute pas de la moralité, puis de l’engagement de l’homme pour redresser notre pays”, a-t-il expliqué.
A propos des rapports qui existent entre le mouvement Benkan et les autres partis et mouvements politiques, Ousmane Diarra se veut dans une dynamique de rassemblement et de main tendue. “Nous avons les meilleures relations possibles avec les autres formations politiques.
La personne qui incarne à l’unanimité le mouvement Benkan, Seydou Mamadou Coulibaly, le président national du mouvement, incarnés aussi le changement tant souhaité par le people malien.
Bien avant son apparition dans l’arène politique, il avait de très bons rapports avec tous les acteurs politiques de notre pays.
Cet avantage doit être mis à profit pour que BENKAN puisse se faire prévaloir et atteindre son objectif”, a-t-il expliqué.
Concernant le regard qu’il jette sur le microcosme politique, entant que leader de la jeunesse malienne, Gousno s’est montre rénovateur.
“Après trente ans de démocratie, je trouve le champ politique plus ou moins ambiant, pour la simple raison que la population malienne, dans sa majorité, ne croit plus aux hommes politiques.
C’est pourquoi BENKAN a été créé avec des nouvelles offres politique sa fin que les Maliens puissant croire aux politiques et comprendre que des hommes nouveaux peuvent se consacrer aux activités de développement pour le bien-être de la nation.
Alors BENKAN a cette chance.
Une chance qui doit être saisie pour que le Mali puis se sortir du trou.
En ce qui concerne mon par cours associatif et estudiantin, le problème ne se pose pas.
Je suis jeune autant que beaucoup de mes camarades des autres formations politiques.
Un parti politique ou un seul regroupement politique ne peut construire le Mali.
On vit dans une situation de précarité depuis près de dix ans.
Il va falloir que les patriotes se donnent la main pour quel intérêt du people puisse être préserve”.
A la question de savoir s’il y a des initiatives pour rassembler les Maliens autour du leader de Benkan, Gousno se dit confiant et entreprenant.
“Je parle de la création de la plateforme politique.
Nous sommes dans ça.
Elle ne sera pas une première expérience, car, vous êtes d’accord avec moi que dans une élection présidentielle, c’est un homme qui fera face à son peuple.
En la matière, s’il y a d’autres partis politiques, pas forcément membres de Benkan, mais qui partagent la vision et l’objectif de Benkan pour la conquête du pouvoir, qui se mettent d’accord pour créer une plate forme en vue de soutenir la candidature de Seydou Mamadou Coulibaly, c’est une très bonne chose.
Mais sa candidature sera portée par Benkan, la plateforme sera là pour élargir sa base électorale.
Quid de la polémique à propos du report ou non de la date des élections?
“Je pense qu’il faut être légaliste en la matière.
La date du 22 février 2022 a été indiquée pour organiser la présidentielle.
Jusqu’à preuve du contraire, je pense que les autorités n’ont pas encore tenu un autre discours différent du premier.
Donc, nous, nous restons dans la légalité.
Nous travaillons ardemment comme si l’élection est prévue à la date indiquée.
En guise d’appel à lancer à la jeunesse lancer, l’ancien leader estudiantin dira qu’il est temps que la prise de conscience puisse devenir une réalité dans le milieu jeune, puis que l’avenir et le devenir de ce pays reposent sur sa jeunesse.
“Si on fait le bilan des trente dernières années du règne démocratique, il faudra que, cette fois-ci, que les jeunes ne se fassent pas manipuler. Notre avenir est en jeu, nous sommes des acteurs majeurs dans le choix d’un homme à la tête du pays. A ce titre, on doit être courageux, audacieux, et faire le bon choix. Ce choix passé nécessairement par Seydou Mamadou Coulibaly en se mobilisant pour son élection à la magistrature suprême de notre pays”, a-t-il indiqué.
Propos recueillis O.A.M