Un coup d’éclat des leaders du MNLA à Alger n’est pas à écarter surtout qu’ils prétextent une connexion gouvernement-islamistes du Mujao pour leur faire perdre les positions conquises depuis les combats du 21 mai.
Cette suspicion fait écho à une autre à Bamako où l’on prête l’intention au pouvoir, précisément au président de l’Assemblée nationale, de protéger le député Oumar Mariko ciblé tout au moins comme un suspect par la Sécurité Etat pour n’avoir pas, conformément au code pénal, dénoncé des « conjurés » qui voulaient tenter un coup d’Etat sanglant contre le président IBK.
Deux dossiers brûlants qui embarrassent le sommet de l’Etat affaibli par d’autres affaires bien gênantes.
DAK
L’ Indicateur du Renouveau 2014-07-15 01:47:53