EN UN MOT Rappel à la responsabilité

Il a surtout rappelé la communauté internationale à ses responsabilités. Leurs forces ont laissé les militaires maliens se défendre « seuls » contre leurs agresseurs samedi dernier au gouvernorat de Kidal lors de la visite du Premier ministre. Le MNLA et ses affidés ont assassiné, entre autres, six préfets et sous-préfets au su des casques bleus et de Serval.

Une attitude de la France et de l’ONU qui nous renseigne qu’il faut, comme les bandits armés, constamment les mettre sous pression. On est aujourd’hui en droit d’exiger le cantonnement et le désarmement des  rebelles avant le début de tout dialogue inclusif.
Avec les événements de Kidal, on a l’ultime occasion de reprendre la main dans les négociations de sortie définitive de crise. Pour peu que les autorités s’assument. Sans folklore !

DAK

L’Indicateur Du Renouveau