C’est pourquoi, au-delà de la hiérarchie au sein de laquelle des changements importants s’imposent, il faut que d’autres têtes tombent. Pourquoi pas celle du ministre de l’Intérieur et de la Sécurité qui avait conseillé d’envoyer plutôt des gendarmes et des policiers, arguant que les problèmes à Kidal sont avant tout de maintien d’ordre ? C’est cette mauvaise décision qui explique le nombre élevé d’agents de sécurité tués dans les affrontements. Leurs parents demandent justice et réparation.
C’est dire qu’IBK n’a pas encore fini de tirer les conséquences de la débâcle de l’armée malienne à Kidal.
DAK
Source: L’ Indicateur Du Renouveau 2014-05-29 02:46:54