Dans le camp présidentiel, on nourrit l’espoir d’un nouveau rapport entre Koulouba et ses élus, jusqu’ici en guerre feutrée avec la présidence. Ils viennent de rappeler leur importance dans la conduite des affaires publiques, dans la survie d’un régime qui doit enfin se faire pardonner par la communauté internationale.
Il y a des problèmes. La France ne décroche plus les coups de téléphones de Bamako. Le FMI refuse toujours de reprendre la coopération avec notre pays pour des fautes graves dans la gestion de deniers publics. On n’aurait rien compris si on continuait à agir comme dans un Etat normal.
DAK
Source: L’ Indicateur Du Renouveau 2014-06-19 11:40:07