Pour démontrer au juge que le judiciaire reste subordonné à l’exécutif, ils ont exigé et presque obtenu le non emprisonnement de certains camarades du capitaine Sanogo comme l’ancien chef d’état-major général et très prochainement la libération de l’ancien ministre de la Défense et ancien chef d’état-major particulier du président de la République.
Ceux qui avaient cru un instant à la promesse de changement faite par IBK et son revanchard garde des Sceaux, ont déchanté depuis qu’ils ont appris que dans l’autre affaire qui défraie la chronique ; à savoir : le présumé détournement de fonds à la Fédération malienne de hippisme, on a torpillé l’instruction pour qu’un conseiller spécial à Koulouba ne se retrouve pas en prison. La justice à deux vitesses a de beaux jours devant lui.
DAK
L’ Indicateur du Renouveau 2014-03-19 11:53:44