Malheureusement, on en eu deux pour éviter de nommer des délégations spéciales que les partis, notamment celui au pouvoir, ne voulaient pas.
Ce faisant, le gouvernement s’est pris au piège et réfléchit à la formule pour se sortir de cette impasse sans perdre la face. A la Primature, on assure que « le gouvernement n’est fermé à aucune proposition, mais il ne bougera que si les partis politiques le demandent ».
Autrement dit, le report est fortement envisagé à condition que les partis en fassent la demande. Entre-temps, on aura englouti des dizaines de milliards dans l’organisation de scrutins qu’on savait impossibles à tenir. On pourra envisager de porter plainte contre X pour gaspillage de « fonds publics ».
DAK
Source: Le Républicain-Mali 13/09/2015