Les deux camps en seraient même venus aux mains au grand désarroi du principal intéressé dont les proches ont révélé son énervement de cette guéguerre qui tombe mal pour le parti présidentiel à qui l’on reproche de s’entredéchirer pour le pouvoir alors que le pays brûle.
Malheureusement, cette lutte de clans risque de continuer encore longtemps pour le parti majoritaire divisé entre deux hommes (qui profitent des missions et des moyens de l’Etat pour mener leur campagne) à qui on n’a aucune possibilité de trouver une alternative alors que Dieu seul sait qu’à Koulouba on ne rêve que de cela.
DAK
Source: L’Indicateur Du renouveau 28/05/2015