IBK a du mal à digérer le fait que la France lui demande encore de négocier avec les chefs du MNLA qu’il tient pour « responsables directs » de l’assassinat sauvage par balle ou égorgement dans les locaux du gouvernorat de Kidal, le 17 mai, de huit hauts fonctionnaires parmi lesquels on déplore un préfet et trois sous-préfets.
Un de ses proches, cité par JA, s’interroge : « Paris a-t-il négocié avec les assassins du préfet Erignac ? » A Koulouba, c’est donc le cœur meurtri qu’on s’achemine vers les négociations. Mais, IBK ne doit pas oublier que, comme a décrété le plus emblématique de ses leaders au 20e siècle, le général Charles De Gaulle, « la France n’a pas d’amis, mais des intérêts ».
DAK
L’Indicateur Du Renouveau 2014-06-03 14:18:04