D’ores et déjà, les choses s’annoncent périlleuses pour la délégation gouvernementale. Soumise à fortes pressions par des acteurs politiques et de la société civile, elle est prise entre deux feux avec, de l’autre côté, la communauté internationale pressée d’en finir avec les pourparlers et qui presse les deux parties à aller vers la signature d’un accord de paix.
Pour autant, il est déjà acquis que le délai de 7 jours pour accorder les violons ne sera pas tenu, une prolongation des discussions et un changement de l’agenda préjudiciable au plan de relance d’IBK qui a reçu hier les acteurs politiques et qui n’attend que la fin de ce processus pour se débarrasser du gouvernement de Moussa Mara, miné par la division et les coups bas.
DAK
Source: L’Indicateur Du Renouveau 2014-11-21 02:29:57