Il prévoit aussi un partage des richesses avec un quart du budget accordé à cet Etat ainsi que la création du poste de vice-président au niveau fédéral ainsi que d’autres choses « inacceptables », nous expliquait hier un participant aux discussions d’Alger où le projet a été présenté.
Cette proposition a été vite rejetée par la médiation algérienne appuyée par les représentants de la communauté internationale qui ont indiqué qu’elle, en plus de violer la Constitution du Mali, allait à contre-sens des principes fixés par l’Union africaine, l’Union européenne et les résolutions du Conseil de sécurité de l’ONU sur l’unité et l’intégrité de l’Etat malien. Et le MNLA et ses complices ont été appelés à revoir leur copie, disons à revenir à la raison. Pour des observateurs avertis, le document écrit à quatre mains, est avant tout une sonde qui a sans nul doute raté son arrimage, car personne ne peut l’accepter.
DAK
L’ Indicateur Du Renouveau 2014-09-26 11:40:46