Les individus à la base de ce crime crapuleux demeurent toujours dans le noir et rien ne se fait pour les démasquer à l’entame des examens de fin d’année qui ont débuté le lundi dernier par l’organisation du Certificat d’aptitude professionnel (Cap).
Après plusieurs campagnes de sensibilisation la moralisation des examens ne semble pas faire recette. Le ministre de l’Education qui avait lancé cette campagne, il y a peu devra revoir sa méthode pour traquer les auteurs des actes à la base de la tragédie de l’école malienne en péril depuis plusieurs années.
En 2013, les sujets de baccalauréat étaient partout, rien n’a été fait pour retrouver les auteurs et les punir. Si rien n’est fait cette année pour empêcher les fraudeurs de sévir, la gestion des examens serait catastrophique.
Ousmane Daou
L’ Indicateur Du Renouveau 2014-05-28 04:17:32
