En effet, selon les explications des organisateurs de la conférence de presse, ces 14 hommes arrêtés et condamnés étaient tous accusés d’avoir de liens avec Al-Qaïda ou d’autres groupes armés et ou la participation à des attentats terroristes. Selon toujours les organisateurs, le 23 mai 2011, les 14 hommes ont été enlevés de la prison centrale de Nouakchott par des gendarmes et transférés vers une destination inconnue après avoir été reconnus coupables des accusations liées au terrorisme. Depuis ce jour, leurs parents sont sans nouvelle d’eux ont expliqués les conférenciers. C’est le 8 juin 2011 que les affaires personnelles de ces 14 prisonniers y compris des livres, des matelas, des couvertures et des vêtements qui ont été rendues à leurs familles sans aucune autre explication ont précisé les conférenciers. Profitant d’une réunion avec le ministre mauritanien de la justice en novembre 2011 à Nouakchott, Amnesty International a soulevé la question de la disparition des 14 hommes. En réponse, le ministre leur a expliqué que les autorités avaient décidé que les 14 hommes avaient besoin d’être isolé ‘’ pour des raisons de sécurité’’ qui selon elles, ils avaient durant leur détention toujours des liens avec des groupes terroristes ont indiqué les conférenciers. Pourtant, selon les explications, la Mauritanie est signataire de la convention internationale pour la protection de toutes les personnes contre les disparitions forcées. A ce titre, la Mauritanie en tant que signataire de la convention contre la torture et autres peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants, elle a selon Amnesty International l’obligation de veiller à ce que les personnes soumises à la torture aient le droit de se plaindre aux autorités compétentes conformément à l’article 13 de la même convention.
Par Zaky
Le Coc Cocorico
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