En conséquence, l’on constate aujourd’hui une prolifération des candidatures indue pour la présidentielle de juillet prochain. Des plus utiles aux plus fantaisistes. Si certains ont le mérite pour avoir servi l’Etat et prouver leurs compétences nationales et internationales, d’être candidats, d’autres, en revanche, viennent de nulle part et n’ont aucune expérience communale encore moins gouvernementale pour la conquête de Koulouba.
Cette année, l’on a constaté la création des partis politiques qui, au lieu de s’implanter, poussent leurs leaders à la course à Koulouba. S’il est vrai que le multipartisme est consacré dans la Constitution du 25 février 1992 encore faudrait-il que le cadre soit organisé pour éviter le folklore.
En tous les cas, il revient à l’Etat de séparer le bon grain de l’ivraie.
Ben Dao
L’ Indicateur Du Renouveau 2013-05-25 01:13:28
