Les petits malins qui s’en étaient accaparés, de manière parfaitement illégale d’ailleurs, avaient l’intention d’empocher une coquette somme en les revendant au poids à un ferrailleur.Malheureusement pour eux, au vu de la «ferraille», le «client» potentiel s’est désisté, n’entendant se mêler de débats trop élevés pour lui, ni détenir des biens militaires. D’où le retour des étuis à la case départ, sous le tas de bois.
Plus de peur que de mal donc! Reste que, de sources spécialisées, le règlement stipule qu’après les exercices de tir chaque homme se doit de rapporter le nombre d’étuis correspondant aux munitions utilisées à qui de droit. Qui a failli ce jour-là?
Yaya Sidibé
Source: Le 22 Septembre