«Être au service de l’avenir de notre famille» : David Mayingila brigue la présidence de la Diaspora Africaine de Bourgogne Franche-Comté pour laquelle il se présente comme le candidat de «l’unité» et du «rassemblement». Plus de détails avec Info Chalon.
Né en République démocratique du Congo et «élevé au sein d’une famille aimante», David Mayingila est candidat au poste de président de la Diaspora Africaine de Bourgogne Franche-Comté (DABFC). Il aura face à lui Patrick Oungaina, originaire de la République centrafricaine.
Sa candidature a été annoncée le mercredi 30 août 2023. Elle se veut la suite logique de son engagement, lui qui baigne «dès (son) enfance dans l’univers de la vie associative et sociale, ce qui lui a permis d’y trouver (sa) vocation».
Comme précisé dans sa lettre de candidature, le candidat estime que l’association se trouve «aujourd’hui dans une situation exceptionnelle» pour ne pas dire à la croisée des chemins. Pour ce dernier, il est temps pour DABFC de «rentrer dans une nouvelle ère de son histoire».
«C’est ensemble que l’on se doit de surmonter cette période décisive dans l’avenir de notre association», explique-t-il.
Sa candidature se veut comme celle de «l’unité» et du «rassemblement». Il voit DABFC comme une «famille», laquelle se doit de «surmonter les obstacles en étant unis et solidaires» autour «de la réussite de (ses) objectifs communs».
«Il est temps de donner l’envie aux générations futures de s’investir comme nous le faisons dans ce qui représente une passion pour nous tous», ajoute le candidat en lice.
Celui-ci appelle à une diaspora «pleine d’opportunités pour l’avenir, une diaspora où l’adhérent pourra voir l’impact de ses actions sur son environnement, une diaspora dévouée dans le développement de la population à un moment de l’histoire africaine où la société civile serait le moteur de l’évolution» et «une diaspora dont les mots d’ordre seront transparence, responsabilité et intégrité».
Soulignant l’importance du travail d’équipe, il propose un plan d’action efficent en facilitant la communication et la collaboration entre les membres du bureau, la mise en place d’une méthodologie de communication facilitant la révision régulière des difficultés et des besoins des responsables des comités permanents et une réunion en début de mandat rassemblant les membres régionaux de la diaspora et les membres locaux «dans le but de définir les priorités du mandat ainsi que la charte de travail à réactiver».
Dans sa stratégie de gestion interne et externe de la diaspora, le candidat propose entre autres une collaboration avec la jeunesse avec la création d’un conseil des jeunes «afin qu’ils prennent leur place au sein de la diaspora», d’un comité des femmes, l’Union des Femmes Africaines de Bourgogne Franche-Comté dans la Diaspora, en encourageant «leur présence lors des événements locaux et régionaux» et un Pôle Enfance en s’appuyant sur les structures de la Ville de Chalon-sur-Saône (suivi scolaire, activités sportives et culturelles, loisirs,…).
À noter que David Mayingila a tenu deux réunions publiques aux Prés Saint-Jean les samedis 9 et 16 septembre.
Karim Bouakline-Venegas Al Gharnati
«Être au service de l’avenir de notre famille» : David Mayingila brigue la présidence de la Diaspora Africaine de Bourgogne Franche-Comté pour laquelle il se présente comme le candidat de «l’unité» et du «rassemblement». Plus de détails avec Info Chalon.
Né en République démocratique du Congo et «élevé au sein d’une famille aimante», David Mayingila est candidat au poste de président de la Diaspora Africaine de Bourgogne Franche-Comté (DABFC). Il aura face à lui Patrick Oungaina, originaire de la République centrafricaine.
Sa candidature a été annoncée le mercredi 30 août 2023. Elle se veut la suite logique de son engagement, lui qui baigne «dès (son) enfance dans l’univers de la vie associative et sociale, ce qui lui a permis d’y trouver (sa) vocation».
Comme précisé dans sa lettre de candidature, le candidat estime que l’association se trouve «aujourd’hui dans une situation exceptionnelle» pour ne pas dire à la croisée des chemins. Pour ce dernier, il est temps pour DABFC de «rentrer dans une nouvelle ère de son histoire».
«C’est ensemble que l’on se doit de surmonter cette période décisive dans l’avenir de notre association», explique-t-il.
Sa candidature se veut comme celle de «l’unité» et du «rassemblement». Il voit DABFC comme une «famille», laquelle se doit de «surmonter les obstacles en étant unis et solidaires» autour «de la réussite de (ses) objectifs communs».
«Il est temps de donner l’envie aux générations futures de s’investir comme nous le faisons dans ce qui représente une passion pour nous tous», ajoute le candidat en lice.
Celui-ci appelle à une diaspora «pleine d’opportunités pour l’avenir, une diaspora où l’adhérent pourra voir l’impact de ses actions sur son environnement, une diaspora dévouée dans le développement de la population à un moment de l’histoire africaine où la société civile serait le moteur de l’évolution» et «une diaspora dont les mots d’ordre seront transparence, responsabilité et intégrité».
Soulignant l’importance du travail d’équipe, il propose un plan d’action efficent en facilitant la communication et la collaboration entre les membres du bureau, la mise en place d’une méthodologie de communication facilitant la révision régulière des difficultés et des besoins des responsables des comités permanents et une réunion en début de mandat rassemblant les membres régionaux de la diaspora et les membres locaux «dans le but de définir les priorités du mandat ainsi que la charte de travail à réactiver».
Dans sa stratégie de gestion interne et externe de la diaspora, le candidat propose entre autres une collaboration avec la jeunesse avec la création d’un conseil des jeunes «afin qu’ils prennent leur place au sein de la diaspora», d’un comité des femmes, l’Union des Femmes Africaines de Bourgogne Franche-Comté dans la Diaspora, en encourageant «leur présence lors des événements locaux et régionaux» et un Pôle Enfance en s’appuyant sur les structures de la Ville de Chalon-sur-Saône (suivi scolaire, activités sportives et culturelles, loisirs,…).
À noter que David Mayingila a tenu deux réunions publiques aux Prés Saint-Jean les samedis 9 et 16 septembre.
Source:Karim Bouakline-Venegas Al Gharnati