En cas de démission, une possibilité, déjà discutée au moment de la signature de l’accord-cadre début avril, c’est un Mali sans chef d’Etat. Avec un Premier ministre doté des pleins pouvoirs. A suivre également la posture que va prendre le capitaine Amadou Haya Sanogo qui déclarait il y a peu : « Lorsque l’on a été chef de l’Etat, il est difficile d’occuper une autre fonction ».
Enfin, la Cédéao ne va sûrement pas en rester là. Planent sur le Mali des sanctions et la possibilité d’user de la force, non pas pour gérer la crise au nord mais pour sécuriser Bamako et la mise en place de la transition.
L’ Indicateur Du Renouveau 23/05/2012