Au cours de cette session, les administrateurs ont examiné les rapports d’activités du Centre au titre des années 2012 et 2013, le programme d’activités pour l’année 2014 et les rapports d’audit interne et externe.
Selon le ministre, il y a un an qu’il a été soumis aux administrateurs le même exercice et à cette occasion un programme avait été approuvé, qui comprenait des activités réparties en cinq composantes : l’audit institutionnel, les études-recherche, la formation, l’interface et plaidoyer, la documentation et la diffusion.
Le ministre Diawara expliquera que l’objectif du conseil était de s’assurer que le Cercap s’implique bien dans l’appui aux services publics dans l’élaboration et la mise en œuvre de politiques de développement et dans le renforcement des capacités du secteur privé et de la société civile.
Suivant le ministre de tutelle, les programmes de 2012 et 2013 ont été techniquement exécutés en dépit des nombreuses et diverses difficultés enregistrées durant ces deux dernières années. Quant aux niveaux d’exécution financière, soulignera-t-il, ils s’élèvent respectivement à 61,54 % et 61,23 %.
Ainsi, le ministre fera remarquer que l’exercice consiste à rester fidèle à l’esprit qui a prévalu à la création du Cercap et de veiller à ce que les activités de cette structure soient au service de l’amélioration des performances des acteurs du développement, tous secteurs confondus.
Et au ministre d’affirmer qu’au regard du nombre d’activités réalisées, du niveau du taux d’exécution financière et du nombre de secteurs ouverts par le Cercap, le bilan est assez satisfaisant pour les deux années écoulées.
A noter qu’au titre de l’année 2014, malgré les difficultés, des activités sont programmées en faveur de toutes les cinq composantes pour un montant de 54 % par l’ACBF et 46 % par le gouvernement.
A. M. C.
Source:L’ Indicateur Du Renouveau 2014-06-03 19:35:52