Selon certains d’entre eux, l’Etat a décidé de refaire le commissariat qui a servi de siège à la police islamique des jihadistes qui contrôlaient alors la ville. Certains policiers, fraîchement venus à Gao, n’ignorent même l’emplacement dudit commissariat, alors qu’ils passent devant sa porte tous les jours lors des patrouilles.
Source: Le Reporter 2014-12-23 18:06:28