Cette Vision du Candidat Dioncounda a été déclinée avec force conviction dans les discours d’ouverture, de clôture de sessions et lors des présentations de vœux de nouvel an au Président de la République.
Les principaux thèmes développés montrent si besoin en était, la dimension d’homme d’Etat, de Dioncounda. En effet que ce soit, l’école, la jeunesse et l’emploi ; la diplomatie, les problèmes de sécurité, le Pr Président ne s’est jamais contenté de les dénoncer, il a fait aussi des propositions.
Et, c’est justement cette capacité de sortir des sentiers battus qui fait la force d’un homme d’état. L’ADEMA, on le sait à un projet de société et un programme de gouvernement dont nous avons vu l’application pendant les dix ans des deux mandats du Président KONARE. Tout le monde se rappelle du livret ayant pour titre « Poursuivons Ensemble » qui a fait le tour du pays en 1997 et qui était un condensé des réalisations du Parti ADEMA/PASJ de 1992 à 1997.
Ce livret prévoyait les différents chantiers à mettre en œuvre pendant le mandat 1997-2002. Ce programme revisité et réadapté au Mali de 2012, peut se targuer de s’être déjà enrichi et renforcé par la vision de Dioncounda TRAORE, dans des domaines comme la jeunesse, la sécurité, la diplomatie version parlementaire, Cette capacité d’anticipation, fait du Pr Président le meilleur candidat du Parti à l’heure actuelle.
Le Pr a une idée claire des grandes questions de l’école malienne et de la jeunesse et pour cause, le principal secteur d’activité de toute la vie du Pr Dioncounda TRAORE ,a été l’école, les enfants .
Quand lui avec son titre il dit qu’il est enseignant ,personne ne le contesterais ,parce que enseignant il l’est dans l’âme ,et toute sa vie durant il a été de part son métier avec les jeunes, du Mali et d’ailleurs .Cette proximité avec les jeunes lui a permis de faire un diagnostic sans complaisance des maux dont souffre la jeunesse et de livrer des pistes de réflexion susceptibles d’enrichir le programme de son Parti.
Pour mieux assoir son programme sur la jeunesse et l’école, il a fait un état des lieux sans langue de bois de la jeunesse et de l’école. Cet état des lieux, il l’a fait en trois occasions.
Lisez plutôt : La première c’était lors de la présentation de vœux au Président de la République à Koulouba au mois de décembre 2010 : » …Aujourd’hui je voudrais parler des dégâts causés au sein de notre jeunesse par la cigarette, l’alcool et la drogue. Notre jeunesse est en très grand danger. Je n’ai pas de statistiques précises mais je suis convaincu que 75% de nos jeunes aujourd’hui sont victimes de ces fléaux. Plus grave encore le phénomène se développe surtout chez nos jeunes filles et nos jeunes femmes. Je voudrais lancer un appel à tous les éducateurs, à tous les niveaux afin qu’ils jouent leurs rôles respectifs de parents, d’éducateurs, de leaders du culte, de partis politiques et de société civile. On se pose très souvent la question de savoir quel monde nous allons laisser demain à nos enfants, je crois que de plus en plus il faut se demander quels enfants nous sommes en train de fabriquer pour le monde de demain … »
La seconde c’était en avril 2010, lors de la rentrée parlementaire, je cite » …L’école malienne demeure une des préoccupations majeures de nos concitoyens. Il s’agit là d’une question qui constitue aujourd’hui un véritable défi à notre Peuple aux Parents, au Gouvernement, aux enseignants, aux élèves. Force est de constater que les nombreux fora organisés dans notre pays n’y ont rient fait et notre école continue à se dégrader, à se désagréger et à s’enfoncer chaque jour un peu plus dans l’abîme. Il est loin ce temps où le produit de l’école malienne était recherché et respecté. Une époque où il suffisait à nos bacheliers de décliner leur nationalité malienne pour que les portes étrangères s’ouvrent !
Aujourd’hui même dans la sous-région les bacheliers maliens sont soumis à des tests de niveau.Aujourd’hui les professeurs maliens émigrés ne sont plus une denrée recherchée sur le marché de l’emploi. Aujourd’hui on ne cherche plus à se former, à connaître, on ne cherche plus à savoir. A quoi bon ? De toute façon au bout du chemin on obtient son parchemin. Un diplôme vide et qui sonne creux qui ne servira qu’à grossir les rangs des jeunes dits diplômés mais sans emploi.
Evidemment là aussi la corruption est passée !! Le Forum National sur l’éducation, avec ses recommandations semblait avoir posé les jalons d’une sortie de crise c’est pourquoi il avait suscité un immense espoir et emporté l’adhésion de toutes les composantes de notre société. L’Assemblée Nationale, tout en s’engageant à appuyer l’action du Gouvernement dans ce domaine, avait cependant souligné la nécessité de traduire rapidement en plans d’action opérationnels aussi précis que possible ces différentes recommandations, et ce, dans le cadre d’un moratoire de deux ans minimum. Mais le constat est loin d’être rassurant pour l’avenir.
Je voudrais en tout cas réaffirmer solennellement, l’engagement de l’Assemblée Nationale à ne ménager aucun effort pour aider à restaure une école performante à tous points de vue. Parce que revenue aux valeurs morales et pédagogiques qui en faisait jadis l’objet de notre fierté. Au nom du Bureau de l’Assemblée Nationale et de l’ensemble des députés du Mali, je voudrais lancer à tous les protagonistes, à tous les partenaires de l’école malienne un appel pressant et angoissé pour un sursaut patriotique. L’école malienne doit retrouver son lustre d’antan ! Les sacrifices à consentir peuvent paraître énormes, mais ils ne sont pas au-dessus des capacités de notre Peuple et de toute façon ils sont nécessaires si nous voulons que le Mali existe demain !!… «
La troisième sortie du Président Dioncounda sur la jeunesse à eu lieu à l’occasion de la rentrée parlementaire d’Avril 2011, lisez : « …L’avenir de tout pays dépend de sa jeunesse et l’avenir de la jeunesse se construit à l’école. Vous m’avez certainement déjà compris : je voudrais parler encore et toujours de l’école. Je ne me lasserai pas de le faire, jusqu’au jour où nous réussirons à rebâtir une école digne de notre pays et garante de l’avenir de nos enfants.
La représentation nationale encourage les tendances positives que laisse entrevoir notre système éducatif, notamment au fondamental et au secondaire. Au niveau de l’enseignement supérieur, la situation est autre. Les années se suivent et se ressemblent, les années continuent à se chevaucher, à tel point qu’il devient difficile parfois de les démêler. Par ma voix, le bureau de l’Assemblée Nationale et l’ensemble des députés lancent un appel pressant au Gouvernement, aux enseignants de tous les ordres, singulièrement ceux de l’enseignement supérieur, aux syndicats des enseignants, aux parents d’élèves, aux élèves et aux étudiants, en vue d’un sursaut patriotique et salvateur, pour la réhabilitation de l’école malienne, jadis fierté de notre pays… »
Jeunesse de l’ADEMA /PASJ le Pr Président connait les maux de la jeunesse malienne et les difficultés qui l’assaillent, vous pouvez, vous avez l’obligation de l’aider à dépasser en toute démocratie le cap des primaire en attendant la grande bataille, vous pouvez le faire en exigeant un plébiscite pour Dioncounda TRAORE, lors de la désormais attendue conférence nationale extraordinaire du 30 juillet 2011.
Jeunes de l’ADEMA/PASJ ,la jeunesse de mon parti le P.B.S(Parti du Bon Sens)vous soutient dans votre combat de faire de votre grand Parti ,un parti ou certaines valeurs politiques sont de rigueur ,alors lancer le mot d’ordre : Les voix des délégués de la jeunesse ADEMA ,ne sont pas à vendre ,elles sont pour DIONCOUNDA.
En le faisant, vous ferez en sorte que les errements de 2002 ne se reproduisent plus jamais. Vous devez avoir à l’esprit cette pensée de Emile DURKHEIM, sociologue Français, je cite « Pour qu’il se produise des nouveautés dans la vie sociale, il ne suffît pas que des générations arrivent à la lumière ; il faut qu’elles ne soient pas trop fortement entrainées à suivre les errements de leurs devancières. Plus l’influence de ces devancières est profonde-et elle est plus profonde qu’elle dure davantage, plus il ya d’obstacles aux changements » Que le bons sens guide la jeunesse ; les femmes ; et les plus « hautes autorités de l’ADEMA/PASJ », je veux parler des votants de l’ADEMA/PASJ !
Ainsi soit-il !
(A suivre, les problèmes d’insécurité et de banditisme, tel que vue et dénoncer par le Pr Dioncounda TRAORE),
Daman O. tékété
Le 22 Septembre
25/07/2011