A l’ouverture des travaux, Mme TOURE Oumou CAMARA, conseillère technique représentant le ministère du développement social, de la solidarité et des personnes âgées, a affirmé que « déjà en juillet 2010, nous étions réunis ici, dans cette même salle, pour l’élaboration desdits indicateurs. Ceci prouve à suffisance que le processus de mise en place du système d’information du CNAOM est bien en marche. »
Ce processus, ajoutera-t-elle, répond à un défi majeur de notre département, à savoir accroître la lisibilité et la visibilité des interventions sociales. Mme Touré dira donc sa conviction que les participants ont mis le temps à profit pour se familiariser avec les indicateurs qu’ils ont eux-mêmes produits et qu’ils ont par conséquent eu l’occasion de trier et de prioriser. « Leur expérimentation vous a certainement permis de mieux appréhender les réalités du terrain. Je dis bien expérimentation, car la formation à l’utilisation est une autre étape qui interviendra à temps utile. », Précisera la conseillère technique.
Au cours des journées que durera l’atelier, il s’agira pour les participants de revoir minutieusement les indicateurs afin de mieux les mettre en relation avec toutes les dimensions du domaine d’intervention qui est le leur. D’autant que le choix, le nombre et la hiérarchie des indications posent naturellement des problèmes.
L’exercice de cette session devra donc consister à retenir certains points essentiels : d’une part, des indicateurs révélateurs et même quantifiables lorsqu’il s’agit d’analyse quantitative et, d’autre part, des indicateurs riches de signification lorsqu’il s’agit d’analyse qualitative.
M. DIAKITE
Le National 55 14/01/2011
