Etaient aussi présents dans la salle les membres des cabinets ministériels, les présidents des Chambres consulaires et des Conseils et les représentants des institutions consulaires.
Les présentes assises, a déclaré Jeamille Bittar, dans son allocution d’ouverture, «se tiennent à un moment où le niveau d’atteinte des objectifs que nous nous sommes fixés nous donne de réelles satisfactions et augure d’un avenir meilleur. Mais l’œuvre humaine étant, par essence, toujours perfectible, nous allons nous atteler, ensemble, à toujours mieux faire pour réaliser les nobles ambitions que nous nourrissons pour notre pays en général et pour la Chambre de Commerce et d’Industrie en particulier».
Dès le début de notre mandat, a-t-il ajouté, «nous avons érigé la concertation en mode de gestion. C’est ainsi que, s’agissant de la crise ivoirienne, concernant l’amélioration de l’environnement des affaires ou encore s’agissant de la gestion de la crise alimentaire, nous avons privilégié la concertation avec les autorités. Le but étant de parvenir à des résultats consensuels et applicables dans la sauvegarde des intérêts de toutes les parties».
Jeamille Bittar a alors profité de cette tribune pour insister sur le rôle très important joué par les commerçants dans la gestion de la crise alimentaire et des répercussions sur notre pays des crises énergétiques mondiales. Ceux-ci, selon lui, ont réussi à endiguer l’inflation des produits importés: pétrole, riz, lait, huile et sucre.
«Pour prétendre à un développement économique durable, il faut un secteur privé dynamique, capable de générer des emplois et d’aider les couches démunies à s’extraire de la pauvreté», a-t-il conclu.
Après ce discours, très applaudi, les travaux se sont poursuivis par la présentation du rapport d’activité, la présentation et l’adoption du projet du budget 2012 et, enfin, la présentation du rapport du diagnostic financier.
Pierre Fo’o Medjo
Septembre 22/12/2011