Une source de sécurité régionale a parlé de son côté « de risque rapide de dégradation de la situation sur le terrain ». Selon elle, « la colère gronde. Il faut prendre des initiatives parce que des deux côtés, les groupes armés opposés veulent reprendre la guerre ». Malgré l’accord de paix, le Nord du Mali reste instable et sous la menace d’attaques de groupes jihadistes liés à Al-Qaïda, en dépit de l’intervention armée internationale en cours depuis 2013.
Source: L’Indicateur Du Renouveau 28/08/2015