Remercié de l’effectif du personnel de l’ONG AGIR après son contrat à durée déterminée d’un an sur double fond d’« attitude désobligeante envers certaines auditrices du Centre » et de non-respect de son devoir de compte rendu à ses supérieurs hiérarchiques, l’ancien contractuel de l’ONG AGIR de la Première Dame, Kader Haïdara n’arrive toujours pas à digérer sa mise à l’écart. Au lieu de tirer les leçons de son mauvais comportement lors de son passage dans cette structure et chercher à le corriger afin d’avancer, il garde de la rancune pour une Dame qui a bâti, toute sa vie durant, sa réputation sur le soutien et la défense des droits des populations vulnérables.
Ainsi lors de l’émission « Carte sur table » du 2 Janvier 2018, il s’est lancé dans un témoignage tordu contre la Première Dame en essayant de porter atteinte à la notoriété et à la bonne image l’ONG AGIR. Mais, il a été vite stopper dans son vil élan de se venger injustement de la Première Dame grâce à une enquête menée par l’équipe de « Mali Héré Kodo ». Lisez l’intégralité de l’enquête
Atteinte à la notoriété de l’ONG Agir : Quand un certain HAIDARA s’adonne au mensonge dans le but de diffamer…
Sur les antennes d’une radio dans son émission « Carte sur Table » du 02 Janvier 2018, l’informaticien Kader HAIDARA précédemment formateur en Informatique et en Maintenance d’appareils informatiques en service au Centre de formation de jeunes fille en Informatique Mme Attaher Jeannette Haidara de Bamako , s’est dit victime d’un licenciement abusif de la part de son employeur l’ONG Agir.
Dans son témoignage en direct dans l’émission il a affirmé que ce licenciement abusif est intervenu juste après une mission du FNUAP (UNFPA) bailleur de fond du volet formation de l’ONG Agir selon ses dires.
Il est allé jusqu’à affirmer que les apprenantes du centre se sont plaints auprès du FNUAP (UNFPA) parce qu’elles ne perçoivent pas des frais de déplacement et ne mangent plus à la cantine pendant les pauses déjeuner lors d’une interview de ce partenaire avec les auditrice du Centre .
Et selon lui ce sont ces témoignages qui sont à la base de la rupture unilatérale du contrat qui le lie à l’ONG Agir alors qu’il devrait prendre fin en 2018.
LES FAITS RELS
Kader HAIDARA qui était jeune diplômé sans emploi a réussi au test de recrutement pour occuper le poste. Avant de regagner son post il a suivi un stage de perfectionnement sur financement propre de l’ONG Agir pour être en phase avec les modules à dispenser.
II a commencé après son recyclage au Centre de Formation Mme Attaher Jeannette Haidara avec un second formateur , et a signé un premier contrat à durée déterminée le 26 Mai 2016 qui le mettait à la disposition du Centre de Formation de Ségou, contrat entré en vigueur le 1er Juin 2016 pour un an.
Ce contrat d’un an est allé à sa fin, malgré des mauvais comportements et des désagréments qui ont été constatés par les responsables du Centre régional et de l’ONG Agir qui le lui ont notifié par plusieurs courriers. A titre d’exemple il lui est arrivé de fermer, sans autorisation de son employeur, ledit centre du lundi 04 juillet 2016 au 08 juillet 2016 pour raison de fête, de libérer les apprenantes pour une semaine, et était injoignable au téléphone sans justification. De plus il avait une attitude désobligeante envers certaines auditrices du Centre .
Etant donné qu’il s’agissait d’une première alerte, l’ONG Agir l’a mis en garde contre ce genre de comportement. A la fin de la première année de collaboration, le système de recrutement ayant changé selon les exigences/principes des partenaires d’AGIR, les écarts de HAIDARA dans le cadre de son travail s’étant accentuer, l’ONG Agir a souhaité rompre sa collaboration avec Mr Haidara en ne renouvelant pas son contrat.
Mais après négociation de Mr Haidara et l’ONG Agir, dans son soucis de ne pas mettre un jeune chef de famille à la rue dans des conditions précaires , a souhaité lui donner une seconde chance mais par sécurité lui a octroyé un contrat de prestation de service en maintenance informatique sur une période de 6 mois renouvelable, durée normale des cours pour une cohorte en maintenance informatique du « Programme Cadre triennal 2015 2017 qualité de la vie et épanouissement des adolescents /tes et des jeunes filles au Mali »
Mais l’habitude étant une seconde nature, Monsieur Haidara n’a pas pu saisir cette opportunité et s’est même rendu de faits encore plus graves comme :
Mauvaise gestion des heures de cours (absences, se faire remplacer par un autre enseignant sans la permission de la Direction de l’ONG AGIR etc…)
Arrogance vis -à-vis du Directeur de Programmes de l’ONG AGIR
Imposture dans le domaine du maraboutage : il a fait croire à ses apprenantes qu’il a des dons pour prédire l’avenir à travers la lecture des lignes de la main
Altercations avec des auditrices des Centres ayant abouti à des insultes et même coups portés sur une apprenante au Centre de Ségou.
L’ONG AGIR dans sa quête de préservation de sa notoriété de son image et de ses relations avec ses partenaires qui ne datent pas d’aujourd’hui, et pour rassurer les apprenantes et leurs parents, a décidé immédiatement et sans délai la rupture de son contrat de prestation de service en le mettant dans tous ses droits.
De plus Mr Haidara a fait croire aux apprenantes que les frais de transport et les repas étaient financés par le FNUAP (UNFPA) partenaire de l’ONG AGIR pour ce volet du Programme. Ce que Monsieur Haidara ne sait pas, en disant que c’est le FNUAP qui finance les frais de transport et de repas, il n’en absolument rien.
Le FNUAP (UNFPA) contribue à la prise en charge d’une partie des salaires des formateurs et ce pendant 10 mois seulement. Le complément du salaire compétitif des formateurs est pris en charge par l’ONG AGIR sur les 12 mois de l’année. En ce qui concerne le transport l’annonce à candidature est formelle : « …Les candidates retenues assureront cependant leur transport durant la période de la formation… » et toutes celles qui ont postulé savaient d’office qu’elles devaient se déplacer à leurs frais pour participer aux 6 mois de cours et aucune promesse d’offre de repas ne leur était faite.
La Première Dame, Présidente de l’ONG Agir, de sa propre initiative, pour encourager et soutenir les candidates retenues a décidé de financer personnellement leur transport et leur restauration.
Mr Haidara après avoir convoqué l’ONG AGIR à l’inspection du travail et ayant reçu toutes les indemnités à cet effet, continue de manipuler les opinions pour ternir l’image de l’ONG AGIR et de sa Présidente à travers les radios et sur les réseaux sociaux, alors qu’il ne devrait s’en prendre qu’à lui-même n’ayant pas su profiter de la seconde chance qui lui a été offerte et dont un autre aurait pu profiter et être un exemple pour de nombreux jeunes. Mais ceci reste un incident de parcours et, l’ONG AGIR continuera à promouvoir les jeunes diplômés en leur donnant leur chance à chaque fois que l’opportunité se présentera. Ainsi, pour la prochaine promotion des apprenantes, AGIR trouvera certainement de jeunes professionnels loyaux engagés et déterminés à l’accompagner dans sa quête du bien-être des jeunes adolescents/tes et de jeunes filles déscolarisées. Une mission de sacerdoce pour la Première Dame, Présidente de l’ONG AGIR.
Le titre et le chapeau sont de : www.diasporaction.fr