Et si ces performances réalisées faisaient… taire les détracteurs de Mohamed Albachar Touré ?
Le lundi 21 mars 2017, s’est tenu la 25e session du conseil d’administration du fonds d’Appui à la Formation Professionnelle et à l’Apprentissage (FAFPA). C’était dans la salle de réunion de ladite structure sous la présidence de son président du Conseil d’Administration, Mamadou Sinsi Coulibaly. Président du Conseil National du Patronat du Mali
Conscient que le FAFPA est un service qui œuvre à la réussite des politiques publiques pour la croissance, la compétitivité de l’économie nationale et la création d’emplois pour la formation et le renforcement des capacités, le président de la république, Ibrahim Boubacar Keita ne s’est pas trompé sur le choix porté sur Mohamed Albachar Touré en le nommant Directeur général en Novembre 2013. Et de cette date, le fonds ne cesse d’enregistrer des progrès notoires en témoigne les différentes sessions de son conseil d’administration. Conformément au programme d’activités 2016 qui prévoyait le financement d’au moins 950 plans, projets ou actions de formation (visant près de 34 200 actifs), le développement d’actions de soutien à la formation(a savoir l’amélioration de la qualité de l’offre de formation), le Fonds d’Appui à la Formation Professionnelle et à l’Apprentissage a alloué à la formation de la population active une somme de 4 800 millions de francs CFA comme contribution. Et les résultats ne se sont pas fait attendre du tout.
C’est ainsi qu’au niveau du secteur moderne, 157 projets ont été réalisés pour un apport FAFPA de 1.191 millions de francs CFA. Ces activités ont porté sur le financement des plans/projets de formation des entreprises et des groupements professionnels du BTP, des industries et des mines. Au niveau du secteur non-structuré, 241 projets de formation ont été consolidés et réalisés pour une contribution du fonds de 1.279 millions de francs CFA dans le secteur rural, les services et l’artisanat. Concernant le niveau des activités de soutien à la formation, un protocole de collaboration a été signé avec l’INFORP et l’organisation de trois ateliers techniques avec les groupements professionnels membres du conseil national du patronat du Mali pour former les acteurs sur les techniques d’élaboration des projets de formation et sur le système multi-acteurs.
A noter que 90 organismes de formation ont été habilités à suivre ces formations. Au plan de la communication, un magazine télévisé, qui rend compte des différentes étapes de processus de planification des plans et projets de formation ainsi que de la réalisation et la mise en œuvre des actions de formation, a été produit, diffusé et est disponible à la documentation du fonds. Sur le plan de la gestion administrative, il convient de noter la signature de la convention de délégation de fonds et de mise en œuvre avec l’agence Lux-Développement.
Il ressort qu’à la date du 31 décembre 2016, le taux d’exécution technique est de 69,82% pour une exécution financière de 64,21%. Aux dires du Directeur général du FAFPA, cette dynamique de financement des plans et projets de formation éligibles tout en priorisant ceux faisant l’objet d’une étude d’ingénierie, sera poursuivie. Tirant les leçons de l’exécution technique et financière en 2016, des difficultés récurrentes de recouvrement, de mobilisation et d’encaissement, le FAFPA reste donc modeste dans ses projections et prend en compte le remboursement des arriérés au titre des exercices antérieurs dans l’allocation des ressources.
Malgré ce contexte, le fonds entend réaliser 256 plans et projets de formation pour 2700 bénéficiaires, tous secteurs économiques confondus ainsi que l’équipement en MAO d’au moins 10 opérateurs de formation. Quant au programme d’activités 2017, il est construit autour d’un budget établi en recettes et en dépenses à la somme de 7.598 millions de francs CFA sur la base des prévisions des ressources de la Taxe de Formation
Professionnelle(TFP), de la subvention de l’Etat, des recettes sur exercices antérieurs et de la contrepartie des bénéficiaires de la formation. Quant aux activités liées à la formation (direct et soutien), elles sont évaluées à près de 4.188 millions de francs CFA représentant 55, 12% du budget global et 73, 30% de la TFP, principale ressource du fonds. En termes de perspectives, outre le règlement des arriérés de paiement au titre des exercices précédents, le FAFPA se propose de réaliser 266 projets et plans de formation, sur la base d’une prévision budgétaire de 7 milliards 598 millions de francs CFA dont 6 milliards 394 millions de francs CFA au titre de la TFP. On comprend donc toute la satisfaction du président du conseil d’administration, Mamadou Sinsi Coulibaly.
Après avoir rappelé l’importance de l’apport des administrations, qui est très déterminant dans la réussite des objectifs assignés et la définition des orientations du fonds ; Mamadou Coulibaly a rendu un vibrant hommage au Directeur général, Mohamed Albachar Touré pour son sens d’écoute, sa compétence et son professionnalisme pour faire du FAFPA, un service performant et envié. Ces progrès enregistrés ne sont que les fruits des innovations et des reformes entreprises par le Dg Touré en 2015. On peut dire sans se tromper que ces trois dernières années, ce service, maillon essentiel pour le développement du pays dans tous les domaines, est brusquement sorti de l’ombre longtemps méconnu des partenaires stratégiques et des populations. Espérons que ces performances qui ont été reconnues, appréciées et saluées par le Président du Conseil d’Administration puissent faire taire enfin les détracteurs du Directeur Général et du FAFPA. On comprend donc pourquoi ce service suscite autant de convoitises et fait l’objet de dénigrements contre le Directeur général, Mohamed Albachar Touré.
Moussa Bamba
Message EDM
La Société Energie du Mali (EDM-SA) informe sa clientèle d’une forte perturbation sur le réseau électrique.
EDM-SA suite à un incident technique au niveau d’un poste de transformation haute tension.
La reprise est en cours. EDM présente ses sincères excuses à toute la clientèle.
DISSOLUTION DU C.E DE LA FEMAFOOT
Deux associations de la société civile apportent leur soutien total et sans faille au gouvernement
Après les clubs et ligues majoritaires de la fédération malienne de football, Mahamadou Samaké dit Sam Dièman et Général Diop, sages du Stade malien de Bamako, le président des jeunes musulmans du Mali, Macki Bah, le guide spirituel Ançar, Chérif Ousmane Madani Haidara, l’Archevêque de Bamako, Monseigneur Jean Zerbo, c’est au tour de deux associations de la société civile d’apporter leur soutien total et sans faille au gouvernement malien sur sa décision de dissoudre le comité exécutif de la fédération malienne de football dirigé par Boubacar Baba Diarra et ses larbins. Il s’agit de la Coalition Patriotique pour le Mali(CPM) et l’Association de Soutien aux Actions du Comité de normalisation(CONOR) qui l’ont annoncé respectivement à travers un point de presse le 25 mars 2017 à la Maison de la Presse et par un meeting géant le 27 mars 2017 au terrain San Zou d’Hippodrome.
Fidèle à son rôle important dans la défense des intérêts des citoyens mais aussi dans le maintien de l’équilibre social, du moment où elle doit jouer le rôle de contre-pouvoir, la Coalition Patriotique pour le Mali doit soutenir le pouvoir en place toutes les fois que cela est nécessaire, l’alerter et le critiquer au besoin et le combattre s’il le faut, dès qu’il apparait clairement que le politique fausse les règles de jeu démocratique et républicain. Elle se réserve ainsi le droit de donner son point de vue sur tout sujet de préoccupation. C’est ainsi que la CPM a observé depuis quelque moment la crise qui secoue le football malien dont la gestion a coûté la suspension du Mali aux compétitions internationales par la FIFA. Pour le conférencier, Fabou Kanté, de 1960 à nos jours soit 57 ans, l’équipe majeure du football n’a jamais remporté une coupe d’Afrique des nations et ne s’est jamais qualifiée à une phase finale d’une coupe du monde. Mais de l’arrivée à nos jours de l’actuel ministre des sports à la tête du département, les cadets et les juniors ont des émules sur les plans africain et mondial. Mieux les Cadets furent sacrés champions d’Afrique en 2015 à Niamey(Niger). Concernant la crise qui secoue le football, Fabou Kanté a constaté que toutes les voies de recours à l’amiable ont été épuisées en trois ans de médiation entretenue par le ministère des sports, le HCI, l’Eglise, l’Assemblée Nationale, le CNOSM et même la FIFA. Ce qui fera dire au conférencier que cette crise n’est ni plus ni moins que le résultat d’un conflit d’intérêts entre un maximum de quatre personnes au sein de la fédération malienne de football. « De tout ce qui précède, il faudrait bien qu’à un moment, des décisions courageuses, audacieuses et même douloureuses soient prises par le gouvernement en sa qualité d’organe d’exécution des politiques publiques pour libérer notre pays pris en otage par quelques individus et uniquement pour la satisfaction d’intérêts personnels. Notre avis sur ce point, est que le gouvernement, à travers le ministre devrait agir. Il a agit et il faut le soutenir dans ce sens même face aux manipulations et intoxications internes et à la décision d’une FIFA qui aurait pu d’ailleurs s’assumer depuis belle lurette » a déclaré M. Kanté. Pour le président de la CPM, le gouvernement malien a son soutien total sur sa décision de dissoudre le comité exécutif de la fédération dirigé par Boubacar Baba Diarra le 8 mars 2017 car la souveraineté du pays oblige. « Nous devons non seulement prendre acte de la décision de suspension de notre pays par la FIFA mais surtout œuvrer pour transformer cette crise en opportunité, du moment où elle s’impose désormais comme fait. Il faut en profiter pour nettoyer totalement notre fédération. Nous sommes des assoiffés du changement et nous attendons des actions similaires à celles posées par l’actuel Directeur général de l’EDM pour lequel nous tirons le chapeau de passage » a conclu le conférencier. Quant au président de l’association pour le soutien aux actions du CONOR, Youssouf Traoré, lui dira vu que le Mali est une grande nation de football, une nation d’entente, de cohésion et de pardon, son association ne doit pas laisser ce sport roi sombrer pour compromettre l’avenir de la jeunesse. Après avoir rappelé l’énorme difficulté que traverse le football malien depuis plus de trois années, Youssouf Traoré en appelle aux et aux autres soucieux de l’avenir et de l’image du Mali « Devrons nous sacrifier et enterrer le sacrifice consenti par nos pères Salif Keita, Feu Mamadou Keita ‘’Capi’’, Ousmane Farota, Feu Bakoroba Touré. Nous disons non au Kidnapping sous toutes ses formes du football malien » a-t-il conclu.
POUR LA NORMALISATION DU FOOTBALL MALIEN
Les soutiens se multiplient en faveur du CONOR
Après les clubs et ligues majoritaires de la fédération malienne de football, Mahamadou Samaké dit Sam Dièman et Général Diop, sages du Stade malien de Bamako, le président des jeunes musulmans, le guide spirituel Ançar, Chérif Ousmane Madani Haidara, l’Archevêque de Bamako, Monseigneur Jean Zerbo, le Chérif de Nioro, deux associations de la société civile à savoir la Coalition Patriotique pour le Mali, l’association pour le soutien aux actions du CONOR, c’est au tour de quatre clubs de ligue 1 à savoir l’USFAS, l’US Bougouni, Le Mamahira de Kati et l’AS Bakaridjan d’apporter leur soutien total et sans faille au Comité de normalisation. Si les responsables de l’USFAS l’ont annoncé dans le Quotidien National ‘’L’Essor’’, les responsables des trois clubs cités plus haut l’ont annoncé lors d’une rencontre avec le président Sidy Diallo au siège de la fédération malienne de football le 1er Avril dernier. Aux dires du président Diallo, des rencontres se poursuivront cette semaine avec les ligues de football, les arbitres et d’autres acteurs de football. Une bonne nouvelle pour la normalisation du football malien qui a subi une crise aigue et sans précédent de l’histoire de ce sport roi.
COMITE DE NORMALISATION DU FOOTBALL MALIEN
10 millions CFA pour faire démissionner un membre
Par Décision No 0012/MS-SG en date du 14 mars 2017, un comité provisoire chargé d’organiser, de gérer, d’animer, de promouvoir et de développer le football au Mali jusqu’à l’élection d’un nouveau bureau fédéral. A peine nommé membre de ce comité, ces membres sont entrain d’être harcelés d tout part par des coups de fils masqués tous les jours. C’est ainsi qu’il nous revient que trois jours après leur installation, un des membres du comité a été contacté par un coup de fil avec un numéro masqué pour qu’il démissionne contre la somme de 10 millions de francs CFA. « J’ai reçu trois coups de fil me demandant de démissionner contre la somme de 10 millions de francs CFA. La personne qui a refusé de dévoiler son nom est allé jusqu’à me dire si les 10 millions sont insuffisants, qu’il est prêt a augmenter la somme mais seulement après l’avoir remis ma lettre de démission » confie ce membre que nous taisons le nom. Comme on le voit on n’a pas besoin d’être dans les secrets de Dieu pour comprendre que cette tentative de déstabilisation ne peut qu’être l’œuvre des anciens membres du comité exécutif de la fédération malienne de football. Une manière de fragiliser le comité de normalisation à travers un lynchage médiatique dont eux seuls pensent détenir le secret.
LIMOGEAGE DE MAMADOU LAMINE COULIBALY COMME PROCUREUR GENERAL DE LA REPUBLIQUE
Une mauvaise nouvelle pour l’ancien président de la FEMAFOOT
C’est avec une grande joie que les acteurs de football épris de justice ont appris le limogeage de Mamadou Lamine Coulibaly comme Procureur Général de la République. Et pour cause suite à une plainte déposée contre Boubacar Baba Diarra, président d’alors de la fédération malienne de football (8octobre 2013-8 mars 2017) le 1er juin 2015, des enquêtes suivies des auditions avaient débuté du temps de Daniel Tessougué, Procureur Général au moment de la plainte. Entre temps ce dernier fut remplacé par Mamadou Lamine Coulibaly et du coup les plaignants s’attendaient à une suite. Mais c’était sans compter avec l’ancien président de la fédération qui a aussitôt nommé ce dernier comme président de la commission de recours de la fédération malienne de football en catimini. On apprendra plus tard que M. Coulibaly serait le beau-frère de l’ancien ministre Makan Moussa Sissoko président de la commission juridique de la FEMAFOOT. Et cette nomination était ni plus ni moins que de bloquer la plainte du collectif des ligues et clubs majoritaires contre les malversations financières, de détournements de fonds, de surfacturation et d’atteinte aux biens publics de la fédération malienne de football. Selon nos informations dès la prise de fonction du nouveau Procureur, les plaignants entendent relancer leur plainte contre le ‘’Djihadiste’’ du football malien. Les plaignants à savoir le Djoliba, l’Avenir de Tombouctou et le COB reprochent au natif de Koniakari des surfacturations de l’électrification des terrains du Djoliba, du Stade Malien de Bamako, de l’AS Réal d’un montant de 5.929.000 FCFA ; du détournement de fonds pour un montant de 36.000.000 FCFA des panneaux publicitaires du match Mali-Algérie des éliminatoires de la CAN 2015 ; des surfacturations des travaux de gazonnage des terrains de Baraouéli et de Mopti pour un montant de 11.588.400 FCFA et une avance non justifiée de 6.615.000 FCFA ; de la surfacturation de la finition des travaux de construction du 3e étage pour un montant de 3. 638.916 FCFA ; des détournements de fonds avérés pour un montant de 14.700.000 FCFA lors du CHAN 2014 à travers des justifications inventées ; des incohérences entre les documents comptables de l’assemblée générale ordinaire du 10 janvier 2015, le projet du contrat du match amical Mali-Chine portant sur la somme de 133 millions de francs CFA.
Affaire à suivre…
INCROYABLE MAIS VRAI
Ce ‘’machin’’ maléfique a été retrouvé dans le bureau… de la FEMAFOOT lors de l’opération d’inventaire menée par les huissiers du CONOR et de l’ancien comité exécutif. On comprend maintenant pourquoi il a fallu trois ans et cinq mois pour parvenir à mettre fin à ce règne sombre du comité exécutif dirigé par Boubacar Baba Diarra.
DJOLIBA A.C
Tidiane Médian Niambélé, réélu sans surprise
Le 25 mars 2017, s’est tenu l’assemblée générale élective du Djoliba AC sis au terrain d’entrainement dudit club. Ainsi Tidiane Médian Niambélé, Mohamed Lamine Haidra dit Mao, Bréhima Traoré et Mohamed Sissoko ont décidé d’aller à l’assaut des électeurs pour diriger le club les quatre prochaines années. Sur les quatre candidats qui étaient en lice, seul un(01) n’a pas répondu présent en la personne de Mohamed Sissoko.
Après une minute de silence observée à tous les acteurs qui se sont consacrés au développement du club, place aux discours du secrétaire général et du président sortant. Tous ont reconnu que le Djoliba a été la grande victime de la crise qui a secoué le football malien depuis 2013. Aux dires du secrétaire général, ce fut une période éprouvante pour toute la famille du Djoliba pendant cette période car le club n’a obtenu aucun trophée, aucun titre. « Cette assemblée est très importante. Il importe que le Djoliba se ressaisisse rapidement et donne au monde sportif l’image de l’unité et de la clairvoyance, de la cohésion et de la cohérence. Pour cela une assemblée générale extraordinaire s’impose à nous » a-t-il indiqué. Après avoir rappelé les moments d’incompréhension et de décomposition que le football malien a vécus dont son club n’a pas échappé à ce dérèglement général, le président sortant entend s’inspirer des pratiques anciennes fédératrices à tous points de vue. Placée sous le signe du rassemblement et des valeurs retrouvées au sein du Djoliba à savoir la discipline, la solidarité et le travail, le président sortant a invité tous ceux qui se reconnaissent au Djoliba et non à une personne de se retrouver. « Nous tendons la main, une main sincère et fraternelle autour du Djoliba rien que le Djoliba ». Après cette cérémonie protocolaire, les délégués se sont retrouvés dans la salle de l’hôtel du club avec la présence de trois candidats sur les quatre retenus. A la surprise générale, Mohamed Lamine Haidara est parti de la salle après avoir dit ce qu’il pense du club et de ses dettes. Quant à Bréhima Traoré, lui atout simplement retiré sa candidature. Donc c’est sans surprise que Tidiane Niambélé le seul candidat en lice, a été réélu pour un nouveau mandat de quatre ans. Sur les 83 votants, le natif de Bana a obtenu 83 voix, 0 voix pour Mao et 0 voix pour Mohamed Sissoko. La question qui se pose c’est de savoir si Mao et Bréhima Traoré accepteront de faire partie du nouveau bureau qui sera composé dans les jours à venir ?
STADE MALIEN DE BAMAKO
Le nouveau président s’appelle Me Boubacar Karamoko Coulibaly
Le 2 Avril 2017, s’est tenu l’assemblée générale élective du Stade malien de Bamako au terrain d’entrainement dudit club. Un seul point était à l’ordre du jour à savoir la succession de Youssouf Traoré à la présidence du comité de gestion. Et le choix fut porté sur Me Boubacar Karamoko Coulibaly pour un mandat de quatre ans.
Depuis l’élimination du Stade malien de Bamako en préliminaires de la ligue des champions d’Afrique par une modeste équipe venue du Libéria, Ccertains responsables et supporters n’ont cessé de réclamer le départ de Youssouf Traoré jugé responsable, qui avait pris les rênes du club après le départ obligatoire de Boukary Sidibé ‘’Kolon’’ suite à sa nomination comme Ambassadeur aux Emirats Arabes Unis. Après une première tentative de le faire débarquer, la 2e tentative fut la bonne car depuis le 2 avril dernier, c’est Me Boubaca Karamoko Coulibaly qui a élu comme président du comité de gestion pour un mandat de quatre ans. Selon nos informations lors de l’assemblée générale, le choix avait été porté sur l’ancien président, Mahamadou Samaké ‘’Sam Dièman’’. Mais ce dernier aurait refusé. Rappelons que le nouveau président du Stade fut ministre de la jeunesse et des sports et avait été l’un des artisans de la qualification des Aigles du Mali à la CAN 1994 après 23 ans d’absence.